Ciel qui me semblait clair
et doux au réveil avec nuages roses errants, ciel mouvant quand suis
sortie, dans l'activité tranquille de la place en réveil, ne
voulant pas savoir que mon espoir était illusion, à la recherche
d'une pharmacie de garde, puisque la boite de Bioprolog que voulais
entamer mercredi à midi n'était que mirage, illusion d'une
inattentive..
esprit léger, pas quasi
ferme, salut aux petites bonnes femmes, lutins verts, qui se
balançaient, indifférentes à la rue ombreuse...
pensée aimable pour ma
pharmacienne habituelle qui se reposait, grommellement en ne trouvant
pas de petite affiche me renseignant sur La pharmacie comme cela se
faisait en des temps trop anciens...
salut aux rosiers, projet
pour vendredi, ou samedi, ou pas...
grimace devant seconde
pharmacie (toujours sans petite note)...
sur pieds gonflés roulant
un peu, passer le long des bacs, rêver sylve, rêver chaleur, sentir
tiédeur, se morigéner parce que serait temps de changer de vêture..
prendre, comme les rares
passants, le chemin des halles
constater que la pharmacie
dite principale, au coin des dites halles, malgré la lumière verte, est
tout aussi fermée... et coincer l'obturateur de son appareil
photo...
trouver gras et beau dos
de cabillaud, grosses et fraîches asperges, continuer la recherche,
marcher, marcher, tenter quatre autres pharmacies...
rentrer, penser vêture,
penser cadeau, penser festival, penser livres, penser appareil
neuf...
déjeuner et avoir envie
de sieste, repérer à peu près les housses à ouvrir en priorité,
faire tas de repassage, penser après
tenter de faire budget,
penser pas impossible, mais se déconnecter.... de tout, je crois, ou
presque.
La pluie est venue en fin
de journée, étais très médiocrement contente de moi, la batterie
de l'appareil étant vide ai pu récupérer les photos, telles que... et puisqu'existaient les ai gardées.
Mañana... ce cher
mañana... un peu honte.
Ai réalisé que c'était
la journée de l'Europe, n'ai pas osé lui présenter mes voeux, trop
navrée de ce que l'on fait d'elle.
Les petites dames sur
la balançoire sont de Touitou et, en vérité, dans une vitrine de
la Galerie Ducastel.
10 commentaires:
bonjour Brigitte j'étais contente de te voir au mur d'offrandes.
actuellement j'avais l'intention d'imprimer les commentaires que j'ai fait ici pendant le OFF.je devrais le faire avant le prochain OFF!
j'adore toutes les photos ici mais la sixième est d'une grace divine.
belle journée magique.
je t'embrasse.
La recherche d'une pharmacie un jour férié peut tourner au chemin de croix...
Quand la pharma fait des siennes...
le bon temps des asperges ! j'ai justement gardé précieusement le jus de cuisson pour crème-régal à midi.
beau cabillaud, à défaut de médicaments.
http://www.les-horaires.fr/84000/Avignon/Sante/Pharmacie/
À tester... !
Il y a des gens qui vivent le jour. D'autres, la nuit. Par choix, par insomnie ou par obligation. Les pharmacies devraient créer des postes de distribution de médicaments comme nous avons maintenant des postes de distribution de billets de banque. ;-) Entre temps, les rues sont d'une réelle beauté à Avignon.
oui Michel et sur la pharmacie de la rue des Lices il y avait un numéro à appeler, mais moi y en a pas aimer les téléphones et n'en avais pas - alors pour internet et cela aurait fallu ressortir,... préféré tester le manque - bon là je go
Tous ces jours en ribambelle d'abandons sont éprouvants et voici les Pancrace, Mamert et Cie qui arrivent en froidure et grisaille
En ces jours fériés, ciel morne et en berne, l'Europe a pris la clé des champs, la pharmacienne enrhumée seul le cabillaud fait le dos rond.
Aucune pharmacie de service à Avignon !...yapluka...se "déconnecter" et attendre ...le lendemain...
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