Comme j'admire le travail
de Martine Belay-Benoit, comme je les aime bien elle et son mari
Michel Benoit, mon «collègue» en blogs avignonnais, m'en suis
allée
vers six heures vingt,
sous un ciel qui hésitait entre bleu et masses de nuages, dans un
beau début de chaleur qui incitait à la nonchalance
et comme nonchalance me
plaît, je me borne aux pauses-photos que demandait carcasse, aux
différents aspects, nobles et humbles, de la ville.
Ai salué Martine et une
amie blogueuse, embrassé Michel, admiré les langues plus ou moins
insolentes, élu deux ou trois préférées,
aimé l'ambiance agréable,
les gens qui allaient et venaient, verre en mains, entre la salle et
la place
regardé la petite
animation, en face, où des ouvriers finissent d'installer les
gradins du cloître des Carmes, et puis comme je dois constater qu'à
force d'abandons et de renoncements je suis devenue une invisible
inconnue pour les têtes connues qui arrivaient,
m'en suis revenue, tout
doux, m'amusant (là c'est de loin) de la gaieté d'une troupe
asiatique programmée chez Golovine qui s'entre-photographiait
et puis me suis un peu
battue contre la langueur passagère de mon mac, pour vous infliger
toute ma moisson...
Que la journée vous soit
bonne.
9 commentaires:
Mais quelle fraîcheur je retrouve en ce jour. Et toutes ces langues qu'on tire et qui semblent se moquer du printemps pluvieux maintenant chose du passé. Beaucoup de fraîcheur et de bonne humeur. Je me suis bien amusé à revoir chacune de ces photos. Bravo Brigitte.
C'est vous qu'on aperçoit avec le grand chapeau blanc ?
Belle exposition, belle promenade dans la ville !
oh non ! c'est une jeune et fine danseuse chinoise ou coréenne, sais pas, vue avec zoom... mais au moins cette troupe, les ai traversés et ai marché un peu devant eux, était heureuse d'être programmée à Avignon !
Jack n'était pas là ???
Se faire tirer la langue comme on se fait tirer le portrait. Au moins, tu ne t'ai pas fait tirer l'oreille pour aller à cette surprenant et belle expo. Ah, que ne suis-je Avignonnais. Les Orléanais sont si froids.
Avignon, ville de la langue mise en scène.
Quelle balade avignonnaise !
Un plaisir !
:D)
Réjouissante cette balade de "mauvaises manières"dirait ma Grand'mère
...et par la même occasion se faire tirer le portrait.
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