ciel doucement gris sur la
ville tranquillement affairée, un peu morne, comme mon humeur –
sentiment de mes incapacités – vague culpabilité qui ne savait où
se poser.
sourire, avancer..
quelques courses (deux utiles : fil noir et yaourts, pour le
reste...)
traverser le village
provisoire qui s'installe, avec un peu de langueur, piano, piano,
dans l'opération démontage
longer à petits pas
métal, ampoules, bois, pneus, guère d'humains – rentrer dans
l'antre – lectures studieuses, un peu de ménage, des rangements à la va comme je te
pousse,
et constater que je ne
suis même plus capable de me servir du dernier disque dur acheté
(pourtant on ne peut plus conforme... et fut un temps où je savais)
renoncé, espéré que l'informaticien qui doit venir un peu avant neuf heures, pour voir ce qui empêche de re-installer Picasa, pour remédier à toutes les injures que j'ai fait subir sans doute à mon cher vieux mac, quitte à le remettre à zéro (avec obligation de tout re-installer) aura le temps de sauvegarder ce qui doit l'être.
Moi je suis une vieille
petite oie, et je vais le regarder humblement...
En espérant que je vous
retrouverai
7 commentaires:
Un art exceptionnel de voir le temps s'écouler dans le grand sablier de l'ennui. Je voudrais parfois savoir trouver les mots. Je me tais.
Votre iMac va tenir le coup... Faites confiance au spécialiste !
Beau camion...
Nous restons : nous serons là quoiqu'il advienne.
Picasa me joue des tours aussi , il paraît dit "l'homme de l'Art Informatique" qu'une nouvelle version existe!!! console ton "mac"
L'heure des repas est aussi importante en informatique dont certains composants sont en or...
L'or dîne à T heure.
:D)
Vivement demain...
Le disque est dur mais il se pliera
Enregistrer un commentaire