la douceur blanche
tiédeur de l'air sur les
rues
indifférentes
corps engraissé,
engourdi,
l'esprit et le coeur
dorment
*
nuages
en fuite
frimeurs,
soleil, vent joueur
et flèches en papier
propulser
jambes gourdes
rencontrer
notre attente
*
lumière
jeune
le
sourire des plantes
et la
tendresse
les
jambes qui trébuchent
mains
gourdes, inquiétude
et puis, un peu après
treize heures une ondée
et puis, au cours de la
journée un corps plus fonctionnel... et des lectures calmes
7 commentaires:
Un jour quelque part dans le monde.
grand grand merci
Les banderoles monologuent...
pas totalement... il y a le crâne et le visage intelligent de Gilles qui oeuvrent à ce que l'impossible ne le soit pas
on retient respiration ; vote pour le grève le 3 juillet, la veille de l'ouverture
Fatigue du matin n'arrête pas le pèlerin.
ce qui m'ennuie c'est que ce n'est pas fatigue mais un engourdissement rampant des jambes st crispation des mains
Enregistrer un commentaire