cuisine vide
ciel légèrement couvert
air doux et halles
le ciel se déchirait un
peu en bleu quand suis arrivée dans ma rue, s'est déchiré pour de la pluie et un orage plus tard – journée sans relief à passer tout
doux tout doux (à part sursaut tonnerre)
et départ dans la nuit
pour le premier de deux concerts avec François-Frédéric Guy en chef d'orchestre
et pianiste, aux programmes proches
Pour ce soir c'était
de Mozart, le délicieux
rondo pour piano et orchestre en ré majeur KV.382 avec sa marche
primesautière
et le beau concerto n°21
en do majeur K477 (avec ajout d'une cadence qui m'aurait presque fait
aimer la virtuosité extrême)
après l'entracte, le
piano remisé, Beethoven la symphonie n°4 (heureuse et impétueuse) en
si bémol majeur opus 60
et comme, dans les
nombreuses vidéos reprenant des interprétations par
François-Frédéric Guy sur YouTube je n'ai trouvé aucune de ces
oeuvres, restant dans Beethoven, l'adagio du concerto n°2
7 commentaires:
Toute cette belle musique à vif, ça doit faire léviter les petits soucis
mais curieusement il y avait aussi peu de monde que pour la musique de chambre
Mozart et Beethoven : ne rien se refuser !
Pensées avec toi pour Frédéric Guy fidèle de la Côte St André au festival Berlioz
Ici, c'est tous les jours ou presque une folle journée.
A-t-on joué la Tempête à Nantes ?
Dominique, je remets ça dimanche en changeant juste les numéros d'opus
Arlette, il a un beau répertoire
Pierre il je fut question ni de tempête, ni de Nantes et la journée était très sage (sourire)
Enregistrer un commentaire