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désolée, Paumée se veut à l'abri, sauf quand un acte fait déborder le vase, des allusions à la politique ambiante.. et si je suis reconnaissante aux envies de commenter je vous demande de me pardonner de rétablir la modération

samedi, novembre 04, 2017

L'hiver s'en vient

en clarté,
quelques filaments blancs pour rendre vivante la plaque bleue
des jaunes pisseux ou nos verts éternels sur les arbres et buissons
des pavés qui étincelaient pour me tenter
un marché fort goûteux, sagement, dans la limite de mes forces

et je décide que le reste ne mérite que silence.

9 commentaires:

tanette2 a dit…

Je trouve le prix des marrons exorbitant, moi qui les ai payés 3,00 € chez le producteur....Les oursins me font envie.

Dominique Hasselmann a dit…

chauds, les marrons chauds ! Ils vont venir vous réchauffer...

arlette a dit…

Le pavage en oeuvre d'art l'étal du marché en gourmandise tes promenades sont completes

Brigetoun a dit…

leur idée - les aime pas et me sont interdits mais la vue et l'odeur me suffisent (sauf qu'il n'y en a pas encore assez, j'ai assisté à discussion entre le bonhomme qui les vent près de la place de l'horloge et mon marchand de légume qui est son fournisseur.. et ne pouvait lui procurer autant de kilos que désirés)

Brigetoun a dit…

Arlette en fait il manquait que la force des jambes et une carcasse silencieuse (sourire un peu jaune)

jeandler a dit…

Les silences ponctuent la musique des jours.
Les châtaignes je les préfèrent sauvages, elles ne me coûtent que la douleur du dos.

Claudine a dit…

samedi jour tant redouté des courses :'(

Godart a dit…

Le marché, belle palette de couleurs.

Brigetoun a dit…

Claudine pour moi ce fut vendredi (enfin pour le gros marché) mais je crois que vais devoir chercher une solution livraison
Godart oui l'automne est sur les étals