départ tôt le matin, à
l'heure où les fenêtres sont ouvertes sur le reste de fraîcheur de
la nuit, avant d'opposer à l'extérieur les volets mi-clos
pour ne pas avoir choc
entre touffeur et froid intense (ou presque, sourire) vers Carrefour
laissant place à l'ombre
aux troupeaux de mes très tranquilles frères et soeurs en âge,
dans les rues presque désertes
et retour avec charge
produits d'entretien et épicerie, décidée à prendre comme modèle
une affiche
et puis, à part l'écoute
d'auditions au sénat, me suis résignée à ne pas lire sur écran
(sauf dix contributions à l'atelier d'été, une par une, avant de
renoncer), à gommer les désirs de spectacles en fin de journée, et
à l'idée que j'aurais passé un festival sans mettre un orteil rue
des teinturiers, place Pasteur, etc... ce qui devrait pouvoir
apparaître comme un crime (enfin presque) – et à laisser reposer,
s'effacer les mots qui m'étaient venus dans la nuit en écoutant la
vidéo 27 de François Bon https://youtu.be/B81Y7_rhlS8
8 commentaires:
Votre marathon annuel me laisse pantoise et admirative au contraire, surtout avec cette touffeur et la foule !
Bravo !!
De la rue - et peut-être d'autres endroits - préférer le côté à l'ombre.
Marie-Christine ai recentré des contemporaines (et un contemporain) bien plus vaillantes que moi
Pierre; mais la courtoisie due aux troupeaux...
Le festival ne vous mérite pas
Belle silhouette. Ici aussi écrasés de chaleur inhabituelle vie au ralenti
chignon bricolé (très il s'effondrait) contre chaleur
mais ce matin les taïwanais et une marche décontractée ou presque… par contre ne supporte pas : la lecture sur écran, le repassage
Perdue en confitures ou autres joyeusetés de fourmi pour l'hiver tu es mon air frais...enfin presque
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