désolée, Paumée se veut à l'abri, sauf quand un acte fait déborder le vase, des allusions à la politique ambiante.. et si je suis reconnaissante aux envies de commenter je vous demande de me pardonner de rétablir la modération
mardi, septembre 25, 2018
Au tournant ensoleillé
la forte
chanson
des platanes
dans le vent,
les cheveux
mangés,
tissus qui
claquent en dansant.
Matin, criait
l'été mort
13 commentaires:
casabotha
a dit…
Le ciel en entonnoir de Carcasse rétive au fricotte-nuages
oui je fais partie de ces gens qui ont du mal (à la longue à force de rousseurs, mais celles des platanes sont piteuses, elle me charme presque) à se réjouir à l'idée de l'automne
Chaque saison a ses charmes, Vivaldi le dit joliment un jour - même si il fut trop diffusé à l'époque des répondeurs téléphoniques des grandes sociétés n'ayant pas encore de services clients délocalisés au Maroc...
Hier, j'étais tombé sur une phrase de Borges (dans "Le Livre de sable") : elle figure dans le générique de ma petite vidéo de ce matin... :-)
Les feuilles sèches et à terre ne sont pas encore mangées ! Vivaldi, bien sûr, mais j'aime aussi celles de Tchaïkovsky et, par dessus tout, celles de Haydn. Un bel automne Brigitte.
Arlette, elle s'est tue ce matin (y repensant j'en ai profité pour terminer mon texte pour l'atelier en y mettant un orchestre de vent (faudra que je le relise)
Pierre, j'entre dans la nostalgie d'un autre mouvement, celui que nous quittons (je crois que dimanche fut le dernier de nos jours au dessus de 30° ce qui est Ma température
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13 commentaires:
Le ciel en entonnoir de Carcasse rétive au fricotte-nuages
L'été meurt aussi par ici, mais vous le dites si bellement…
oui je fais partie de ces gens qui ont du mal (à la longue à force de rousseurs, mais celles des platanes sont piteuses, elle me charme presque) à se réjouir à l'idée de l'automne
Époque où l’on se sent en sursis...
La beauté des couleurs n’empêche pas la mélancolie de s’installer.
d'autant plus qu'ici les couleurs ont plutôt tendance à être ternes (sauf quelques vignes vierges)
Chaque saison a ses charmes, Vivaldi le dit joliment un jour - même si il fut trop diffusé à l'époque des répondeurs téléphoniques des grandes sociétés n'ayant pas encore de services clients délocalisés au Maroc...
Hier, j'étais tombé sur une phrase de Borges (dans "Le Livre de sable") : elle figure dans le générique de ma petite vidéo de ce matin... :-)
gare aux jupons !
Dominique et elle est bellement illustré dans un univers plein de clarté (votre bureau)
Claudine, même les pantalons (enfin pas les jeans ou les slims) fasseyent autour des jambes
La chanson du vent..
Les feuilles sèches et à terre ne sont pas encore mangées !
Vivaldi, bien sûr, mais j'aime aussi celles de Tchaïkovsky et, par dessus tout, celles de Haydn. Un bel automne Brigitte.
Arlette, elle s'est tue ce matin (y repensant j'en ai profité pour terminer mon texte pour l'atelier en y mettant un orchestre de vent (faudra que je le relise)
Pierre, j'entre dans la nostalgie d'un autre mouvement, celui que nous quittons (je crois que dimanche fut le dernier de nos jours au dessus de 30° ce qui est Ma température
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