le ciel est
un plat
bleu ardent
et le soleil
fouille les
pierres
face aux têtes
je leur demande regards de colère ou d'indulgence, ne me répondent
pas
mais je remets
à demain la poste, une exposition et même le Canrd enchaîné, me
vautre dans une paresse entre sourire quiet et malaise crispé selon
le moment
mañana, mais
un mañana, sans échapatoire cèderai à cette envie d'itinérance.
Brigetoun-Oblomov.
8 commentaires:
le ciel est un plat qui se mange bleu
est un plat de faïence bleue qui porte bon ou mauvais plat
Saine paresse
au fond oui, Christine
Oblomov ! Je préfère Pessoa.
Pessoa était en marche ce qui n'était le cas ni d'Oblomov ni de Brigitte
dans la paume, une pause, un horizon tranquille......................................................................................:-)
et un matin en petite itinérance aujourd'hui
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