entre la
brusque
menace du
ciel
les pierres
sages,
la tendre
vierge
les
roucoulements
et
le
déchirement
ouvert sur le
bleu
les pierres
brutes
le rapide et
gras
talochage blond
marcher, s'arrêter,
porter, sans image, et puis franchir le rempart pour rentrer dans le
vent le long du fleuve
aller de la pierre
emprisonnée, de la nature réduite à un décor rigide
aux plantes jaillissant de
la maçonnerie
ou de la pierre vivante,
du rocher presque épargné
10 commentaires:
tendre attention aux petites choses
sont à ma taille
La vie s’insinue et gagne toujours.
surtout la végétale (quoique avec moi et ma cour…)
On n'est jamais à l'abri d'un grain.
comme je n'étais pas équipée et pour les risques courus pas l'antre lors de gros grains, je préfère et c'est ce qui semblait venir et n'est pas venu les douces averses réégénératrices
instantané de vos belles pierres et végétation de votre Sud <3
oui la municipalité peut éradiquer les arbres et mettre la nature en gros pots flous (mais avec le goût des jardiniers pour les mélanges presque sauvages) elle ne pourra rien contre nos adventices anarchiques
Toujours intrigué par ces pierres engrillagées... Comme si elles risquaient de s'envoler.
Pourtant les remparts tiennent le coup ! :-)
Dominique je suppose que ce doit être un décor "in" comme les énormes pots ) la ville se veut chic et dans le courant du monde contemporain - et puis ça peut servir de siège moyennement confortable (j'attends le moment où la négligence et surtout le vent comblera les interstices avec des feuilles, des serviettes en papier, des sacs plastiques)
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