Matin, un peu plus de deux heures pour, enfin, écrire une petite participation au #18 de l'atelier d'été de François Bon, obtenant, en phrases maladroites, une parfaite banalité (ça c'était voulu). Courte sieste, et départ un peu avant seize heures
par des rues qui vivaient avec insouciance le ciel, la lumière, la lente venue des rousseurs et des touches d'or dans la tendresse de l'air qui nous était amical
vers les Célestins, des œuvres, généralement appréciées, et le constat navré que leur cadre, après la dernière campagne de rénovation, avait beaucoup perdu du charme qui, autrefois, les enrobait de pénombre, les faisait venir à nous dans des trouées de lumière...
mais je garde cela pour demain... davantage envie ce soir de lire, d'écouter, que de m'en occuper.
6 commentaires:
J'aime toujours que quittant l'Antre, vous parliez de départ plutôt que de sortie.
Je ne suis pas "la marquise"
La ville est encore verte...
ici les feuillages (sauf arbres plantés exprès pour cela) se flétrissent plus qu'ils ne se colorent
A l'arrivée dans votre beau Sud, je suis à chaque fois étonnée par la végétation, la couleur des pierres et de la terre. Ces platanes hauts sur pattes. Ah quel malheur que les frontières sont redevenues des frontières
mais les splendeurs rousses sont plus limitées
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