un rien sauvage
pourtant très civilisé
jardin où aimer
et trop habituée à une vie de sourires, paumes jointes pour se saluer, mots rares et choisis sauf pour les nouvelles de la nombreuse progéniture de ma sœur et son mari, en rester presque radicalement aux images
un jardin où gouter le soleil sur le visage ou la nuque, où déjeuner dehors (une fois), où baignée dans la douceur ambiante se plonger, en contrepoint, dans la noirceur et la méchanceté de «la conquête de Plassans» de Zola, corriger par la lecture des «petites cosmogonies» de Christine Jeanney et la neutralité légèrement ennuyeuse de vieux Agatha Christie
un peu alourdie peut-être par le plaisir d'être aimée ainsi et, plus platement, par un trop bon appétit, j'en reste là (et j'ai foison d'autres photos, sorry)
11 commentaires:
Heureuse de voir que vous avez profité du soleil dromois avec un plaisir évident, et heureuse de vous revoir ici chère Brigitte !
Merci pour ce jardin partagé.
Que cela fait du bien de quitter la ville pour se réchauffer aux photos de ce jardin.
Marie-Christine, inconnu,
j'ai eu beaucoup de chance (ou j'ai beaucoup de chance)
Plaisir du regard en plongeant dans un autre monde Merci du partage et de te retrouver ..en fleur
le paradis existe donc
bonne nouvelle
Arlette, elle a une drôle d'allure la fleur !
Claudine, ma soeur est une fée
L'inconnue en Catimini Brigitte
merci donc Catimini
Plaisir de te savoir aimée dans un si bel environnement.
de la chance n'est ce pas ?
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