sandales plates
très large jupe rayée
et petit polo
forte caresse chaude
posée sur vieux bras tachés
dans la lumière joyeuse et l'amitié des ombres m'en suis allée vers un peu plus de trois heures de grammaire avec un jeune ami, de recherche, avec une jeune femme albanaise, extrêmement sympathique, de la meilleure façon de passer de son assez bon français oral à l'écrit (vais faire des recherches pour notre prochaine rencontre...)
et un retour lasse, contente, joyeuse plutôt, arroser plantes et les roses qui se pressent vers leur mort, faire thé et dans la foulée pocher morue, faire bouillir une patate, et puis après un petit tour un rien décalé sur internet, me réfugier auprès de Jane Austen et d'« Emma ».
8 commentaires:
Tranquillité des ombres...
Les vélos à l'ancienne sont tellement plus modestes et beaux que les Vélib' parisiens, uniformes, verts et criards (les bleus électriques, passe encore).
La grammaires est un jeu à majorité. ;-)
les "vélos pop" d'Avignon avec leur panier aux fleurs peintes ne sont pas si mal mais pour moi ont toujours le défaut de rencontres brusques dans les rues où nous sommes mélangés... mes préférés : les vélos des garçons quand sont en pagaille immobile dans la cour de Rosmerta
Roses & Emma, Rosmerta, patate bouillue, morue bourrue
Déclinons tous le soleil
Claudine, merci pour ces jolis mots souriants !
Une question d'équilibre. Ne dit-on pas que l'on n'oublie jamais de se tenir en vélo. mais, j'en doute !
"A las tres y media de la tarde"
comment ne pas penser à celà
traduction
Pierre je ne saurais jamais faire du vélo... puisque dois marcher une heure par jour ou plus par contre je suis désolée mais à part quelques petits vieux sages je redoute les vélos 'juste un peu moins que les trottinettes électriques)
Maria j'y ai pensé et puis me sis dit que la demi supplémentaire m'autorisait à reprendre
Enregistrer un commentaire