Me sentant toujours incapable d'écrire quoi que ce soit pour l'atelier de François Bon ou sur le thème par moi proposé pour l'agenda ironique, ayant découvert au moment de partir, en grand voyage hors du département et de la région, vers un musée où n'ai pas mis les pieds depuis longtemps que, jusqu'à fin mars, il ferme à 17 heures et donc, puisqu'il était quatre heures et un chouya, que je n'aurai pas le temps d'en profiter, même si le voyage vers Villeneuve n'est pas excessivement long, ne pensant pas pouvoir être utile à Rosmerta, m'en suis allée marcher simplement, m'attachant aux quelques marques du travail silencieux de la nature (retrouvant ironiquement ce thème que suis incapable de vouloir écrire pour l'agenda)
Et dans l'oubli des jambes
dans les sourires échangés
ou mon rire sous masque
goûter la vie de l'herbe
avant qu'elle ne brûle
quand l'ornent les fleurettes.
Guetter l'effort des arbres
floraisons ou ramilles,
bourgeons qui se dessinent
à côté des akènes,
et petits fruits étranges.
Grimacer un sourire
à tous ceux où s'accrochent
des ornements incongrus
4 commentaires:
Naissance du printemps
belle cette trouée bleue dans la muraille
de même que les ramilles et baies sur fond bleu
dommage l'intrus de la photo 6, qui s'invite à toute saison
quasiment tous les arbres sot ainsi décorés
chez nous c'est moins quatre la nuit, de petits boutons qui apparaissent aux branches, quelques crocus et plein de perces-neige dans les forêts démolies par la pluie du 15 juillet et les tempêtes de février
ici quelques arbres fruitiers fragiles qui font les fous et puis des ébauches de bourgeons sur les autres, les petites sauvages et quelques plantations des jardiniers
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