T. est venu faire mon repassage pendant près de deux heures ce matin, j'étais si épuisée pour elle et me suis sentie si coupable que suis sortie rapidement pour me secouer un peu, mais excessivement peu... un petit quart d'heure dans mon quartier
Les rues proches ne portaient plus d'autre trace du festival que quelques ficelles effilochées.
La température n'était encore, à midi, que fort modérée (34°) mais il était trop tard pour faire grand chose et j'ai décidé que j'irai marcher dans l'après-midi... ce qui m'a semblé parfaitement inutile le moment venu... et la ville bouillant doucement... Me manquait motivation comme on dit, ou un coup de pied dans le derrière, gymnastique qui m'est déconseillée.
10 commentaires:
Mais non..c'est le moment après le tumulte d'être vacante J'adore ce mot qui laisse tant de possibilités au choix
merci... c'était surtout les presque 38 et les jamais moins de 23° depuis deux jours... un rien usant depuis mi uin avec juste une légère pause
Mieux vaut rester au frais entre vos murs, c’est épuisant 😩
oui, je compatis... cette chaleur rend tout individu d'une inefficacité imparable...
Alors, fare niente, et sans honte.
Et la sécheresse, bordel !
Marie Christine mais là je go avant chaleur trop grande parce que des nécessités (sourire) une pensée pour tous ceux qui endurent sans ou avec problème - un peu vexée tout de même... e crois que c'est l'accumulation
Maria ou faire juste nécessaire, puisque peux me le permettre
Godart, pendant les quatre jours les pires n'ai pas ouvert complètement les volets - TOUTES mes plantes ont grillé, je les supplie de me pardonner
_Godart_ l'a bien résumé, et poétiquement en plus.
Marcelle Meyer et Rameau me tiennent au chaud tiède contre le chaud torride
Je vous embrasse
sortie tôt ce matin et avec un petit vent farceur qui faisait partir mon chapeau cache chignon mal fait (a fini à la main) nettement plus tolérable
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