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désolée, Paumée se veut à l'abri, sauf quand un acte fait déborder le vase, des allusions à la politique ambiante.. et si je suis reconnaissante aux envies de commenter je vous demande de me pardonner de rétablir la modération

dimanche, septembre 18, 2022

Compte rendu à grand pas du début de mon escapade


Attendre taxi en s'énervant pour arriver très en avance à la gare

Attendre une demi-heure en gare de Lyon l'arrivée d'un TGV faisant Hyères, Toulon, Marseille et Avignon ce que n'avais pas repéré... deux sœurs devenues provinciales démodées se battant, chacune ayant son idée, pour obtenir billets RER pour Saint Germain


Une qui pensait ne plus savoir (moi) une dont le GPS euh déconnait faisant un détour avant d'arriver à l'appartement qui les attendait au Pecq.... un dîner familial entre plaisir, admiration pour le goût de petite-soeur et bisbilles parce que sommes ainsi, admirer la nuit depuis le balcon, rouspéter contre pluie prévue le lendemain, sourire, dormir


Beauté du jour qui se levait depuis ma chambre et du jour levé sous beaux nuages (mais pas de la vue sur Paris à cause du soleil même filtré sur n'aime pas l'appareil), depuis le balcon... 


Rejoindre Meudon, des fleurs pour que Brigitte fasse une pause sur le court chemin entre parking et église – le but de notre petit voyage, des retrouvailles avec cousines et cousins reconnus ou non, et leur descendance, une messe émouvante


une collation dans la belle maison de retraite où ma tante avait vécu ses dernières années


et un départ des deux sudistes aguerries avec les machines à billet (SNCF cette fois) jusqu'au Châtelet... un café pas terrible mais à l'agréable terrasse d'un café rue Berger pour faire césure


trois gouttes d'eau juste pour la forme en descendant vers l'entrée du Centre Pompidou


céder et prendre photos depuis l'escalier par contagion, et poser ici les premières œuvres, juste effleurées le temps de m'adapter, de la rétrospective de Gérard Garouste (pour demain ou après demain... photos généralement loupées | pas si faciles à capter avec ma dose de timidité passagère, l'attention à ne pas me perdre sans ma sœur, les reflets et la richesse de la matière des œuvres de la période « maniériste » | mais renseignées d'un trop abondant choix aléatoire dans l'ensemble d'un peu plus de cent vingt œuvres exposées.

Cet après-midi à Avignon, sortir pour quelques courses dans un bon mistral, marche entravée non par les journées du patrimoine mais par les acheteurs attirés par une braderie.

8 commentaires:

arlette a dit…

Mon commentaire saute..Désolée je recommence en admirant ton périple bien rempli et le temps aussi de percer les mystères de Garouste et lire son L intranquille

Brigetoun a dit…

Arlette le premier n'avait pas sauté et tant pis n'ai gardé que le second... n'ai pas lu L'Intranquille mais par contre en attendant train de retour et pendant le trajet 'vraiment peindre" entretien avec Catherine Grenier qui revient sur son parcours et a bien complété ma visite un peu trop rapide (ma fatigue mais surtout celle de ma soeur qui en outre partait voir une amie)

Dominique Hasselmann a dit…

Il est rare de vous voir au Centre Pompidou ! Garouste est un bon choix... ;-)

Brigetoun a dit…

fut un temps où ce n'était pas rare du tout ! en fait j'ai découvert que la soeur y allait et l'ai suivie avec joie

mémoire du silence a dit…

"provinciales démodées" ... comme cela m'a fait rire :-)))) rire... j'ai imaginée...:-))))

G. Garouste ... j'aime beaucoup beaucoup cet homme ... son oeuvre, sa pensée, son travail, ses engagements, ses douleurs, ses tourments, ses joies et ses bonheurs, et sa femme une femme extraordinaire... créateurs de La Source https://www.associationlasource.fr/

Brigetoun a dit…

ça nous a fait rire aussi

oui la Source entre autres

Claudine a dit…

Ah oui vous suivre avec votre sœur, on rit et s'instruit

Brigetoun a dit…

Claudine sur les machines à billets de trains ou métros ? le problème est qu'elles se démodent