Vide abyssal
Un bateau encalminé
Désir faseillant
Étais en refus de tout
Principalement de moi
Au lieu de me punir, me suis offert courte marche vers Utopia pour admirer tendrement un homme, le héros de « Perfect days »
et si vous ne l’avez pas lu et voulez comprendre pourquoi l’aimer Piero Cohen Hadria, souvent de bon conseil pourrait ici vous en donner idée.
Moi j’ai souri à son premier sourire et même quand il a été triste j’ai continué pour l’encourager (mais n’avait pas besoin de moi). Et les images sont presque aussi belles que les toilettes de Tokyo.
9 commentaires:
Un beau film, inimaginable en France : par le sujet choisi, et la réflexion traitée… ! ;-)
je crains fort que vous n'ayez raison Dominiquue
la chanson de la barmaid - et toutes les autres chansons - et le bisou hein... content que ça vous ait plu P
je le savais qieça me plairait (mais pense pas à uetter sur le progrmme d'Utopia les passages de films... n'est ps arrivé à rentrer dans mes habitudes et puis dans mon budget, ourire)
mais là c'était le besoin de me redonner confiance en l'homme... y compri mois
Heureuse pour vous que vous ayez pu voir ce film parfait qui fait tellement de bien !
oui exactement !
Que dire :
Un film sublime.
sublimement humain
merci à Zoé Lucider qui a posé ici un commentaire que je viens maladroitement d'effacer (mais comme ma messagerie a de
la mémoire je le recopie)
"Magnifique ode à la vie ordinaire où il suffit d'être attentif au moindre parcelle de poésie. J'ai eu la chanson de Lou reed en boucle dans ma tête plusieurs jours après"
parce qi'ilest si gentil
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