Dans l’après-midi
Charriant linge
dans les rues m’en suis allée
captant lumière
et couleurs pour vie douce
contre sotte inquiétude
Et pour tenter un sourire discret ai recours pour le poème du jour à Thomas Vinau
Parfois on ne le sait jamais
J’aime assez ce moment
dans la rue dans les gares
sur un banc
lorsqu’on ne sait pas encore
si le type en face
qui parle tout seul
en remuant les bras
est un psychotique
ou un homme d’affaires
avec une oreillette.
2 commentaires:
Une tête poétique (dernière photo) sans avoir besoin d'écrire… :-)
éloquente oui
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