Image d’un de ces problèmes posés au passant ignorant qui veut bien les remarquer et qui bien entendu ne sera pas décrypté.
M’applique à croire que suis en meilleure forme physique au moins, même si c’est fragile et si mes difficultés à lire sur écran entraînent au bout d’un moment des crispations qui me font replonger… pas grave mais en tenir compte (et vais réduire mes vagues projets pour juillet… il y aura déjà bien assez à assumer ou tenter de)
L’avant dernière ligne lue cette nuit dans les « Dialogues intérieurs à la périphérie » de Peter Handke (traduction de Laurent Margantin chez Verdier) qui m’a été sourire avant de passer des résultats du vote au sommeil « Que l’homme soit noble, désemparé et bon » (j’adhère)
Puisque les images sont là, les reprends avec juste un résumé de cette dernière journée officiellement active (parce que le repos ne fut pas entièrement oisif)
Marche dans le matin ensoleillé et chaud pour charrier draps et dernier petit blouson ouaté, avec retour errant pendant que vaguaient mes yeux (séduite par un livre que n’avais pas temps de lire et, pour m’aider à réprimer mon désarroi après l’expérience carte coincée/pas de liquidité à la banque, le sourire d’un dessin qui résiste depuis deux jours aux passage des voitures)
Départ dans l’après-midi sous ciel tristounet, en encourageant fatigue qui s’accumulait par les sourires de vitrines rue Bonneterie et retour satisfaite des un peu plus de deux heures dans la « salle de classe » de Rosmerta avec l’épuisement grimpant lentement à l’assaut.
Et puis ce furent ces jours où j’ai tenté de remettre carcasse et moral en état, une difficulté à lire, quelques leçons du cycle « Poétiques de l’amour" données par Patrick Boucheron au Collège de France sur YouTube, du repassage plus ou moins bien fait | mais il y a encore du tri à faire dans les housses |, et une seule vraie marche samedi au bord du fleuve avec quatre ou cinq fleurs et herbes ramenées et non perdues en route… une très mauvaise journée, nuque épaules et jambes, dimanche avec en début de soirée et jusqu’à dix heures des grondements et autant d’eau déversée avec violence sur ma cour que de bulletins RN (je pense toujours FN) dans les urnes,
ce qui curieusement m’a poussée à rouvrir Paumée pour ce matin, d’où les trois photos prises dans ma courte sortie de l’après-midi (avec pas si accessoirement que cela la possibilité de récupérer carte et argent liquide dans l’après-mlidi avant que je ne m’engage à partir de jeudi dans un programme un peu plus chargé.
10 commentaires:
Content que vous ayez soulevé le store pour réouvrir votre petite boutique littéraire.
merci Pierre
En espérant que le ciel national se dégage.
Pierre je n'ose espérer qu'il se dégrade encore - et il est irrémédiablement dévoilé en son pire
RN ou FN c'est du Kif-kif bourricot,
nous sommes sous des ciels bruns ...
qu'il nous sera difficile de dégager
espérons qu'un jour futur ...
j'adhère aussi :
« Que l’homme soit noble, désemparé et bon »
n'est ce pas Maria (une des pépites de Peter Handke)
Patrick Boucheron ... Merci , n'avais pas vu passer
cours qui s'est terminé (mais 12 vidéos sur YouTube)
Impossible d'ignorer et de faire comme ci ..Ravie de ton retour toujours positif quoique tu disesp
oui impossible d'ignorer et de faire comme si - ne pas avoir d'illusion, prendre le bulletin dont on disposera (toujours sans illusion) et pour la suite trouver des biais pour que cc ne soit pas trop terrible
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