j'ai bien marché

 

C’était air tendre

et violente lumière 

baignant la ville

quand m’en suis allée tout doux

vers Rosmerta hors les murs.

Pour un assez court passage, l’enthousiasme pour le travail étant fort modéré et pour un échange sur l’intérêt des manifestations des deux prochains jours pour la passage de la flamme. En ai profité pour passer à la Maison du Off à côté, qui était pour une fois ouverte  au bon moment… en ai profité pour acheter ma carte enfin disponible depuis ce jour… seulement… pour respecter la merveilleux bienfait qu’a internet sur le climat elle est cette année dé-ma-té-ria-li-sée… m’a été envoyée dans une de mes boites mail pour que j’ouvre mon dossier off, seulement : je l’y ai bien trouvée, mais non téléchargeable, sauf sur un smartphone que n’ai point et ne veux avoir… il va falloir que j’y repasse pour demander un tirage papier (qui m’avait été proposé, à moins qu’une capture d’écran que je ferai tirer comme les billets soit acceptable, on verra… la vie moderne est une simplification)

Retour en baguenaudant un peu plus d’une heure 

Découvrant en passant devant les Cordeliers que s’y tenait une exposition… tournant un moment devant une dame que je suppose être l’artiste, Mariana Schieber, regardant assez vite des coeurs ou panneaux recouverts de volutes de couleurs à la fois tranchées et évanescentes assorties de quelque formules d’une spiritualité qui ne me convenait guère davantage (sauvant cependant cette silhouette qui détonait dans l’ensemble) et bien embêtée pour répondre à son « qu’en pensez-vous »… m‘en suis tirée comme pouvais.

Assez satisfaite de m’être bien fatiguée et d’avoir mis le temps pour en arriver à cet état.