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désolée, Paumée se veut à l'abri, sauf quand un acte fait déborder le vase, des allusions à la politique ambiante.. et si je suis reconnaissante aux envies de commenter je vous demande de me pardonner de rétablir la modération

mardi, juillet 16, 2024

Festival — jour 17 — photos et femme non rééducable

 


Matinée repos soit

1 — au petit jour, écrire la #23 de l’atelier de François Bon

2 — nettoyage crottes de pigeon et lavage de cheveux (en suivant cet ordre)

3 — écrire la #24 de l’atelier et préparer gros déjeuner

Après la sieste réclamée par carcasse effleurer à peine la lecture des autres contributions et m’interrompre pour choisir trois spectacles, enregistrer gilets sur clé USB



et réaliser alors que la boutique où je les fais imprimer est fermée le lundi… partir en essayant plusieurs endroits jusqu’à l’ami de la place Pie




Jouer la petite vieille pour ne pas avoir à me battre avec les ordinateurs que ne connais pas et parce que ça m’amusait (deviens insupportable… en fait nous plaisantions) ce qui a mobilisé quatre garçons de couleurs et langues variées, et comme je pensais que j’avais une grosse avance pour rejoindre le théâtre du Balcon faire un petit détour, constater que l’Evêché n’avait pas un besoin si urgent de notre déménagement (avions demandé quinze jours de plus, avons fait sans) et que la première cour retournait lentement à un début d’état sauvage (n’exagérons rien)… et comme je m’étonnais que la cour du Barouf n’ai pas repris pendant le Festival le lieu dont nous l’avions privé un garçon m’a montré quelques numéros plus loin le jardin qu’est la Cour des Platanes où ils ont élu domicile et je les ai compris…. Trouver finalement une longue file d’attente devant leThéâtre du Balcon, refuser privilège, me retrouver tout en haut derrière un homme grand au cou mobile ce qui; malgré la forte pente m’a forcé à une mobilité égale et contraire… ai failli me venger en applaudissant sur son crâne avec toute la force que méritait le spectacle…



soit « Femme non rééducable » (photo empruntée au site du théâtre) une pièce de Stéfano Massini (traduction Pietro Pizzuti) dans une mise en scène de Tadrina Hocking… alliant la sensibilité admirative que mérite cette femme et la force d’un théâtre de mobilisation, presque d’un tract (pas un reproche, ce serait un tract d’excellente qualité) interprété par Caroline Rochefort et Pierre Perçot (excellent dans toutes les incarnations qu’il prend en charge)

Présentation sur le site 

Femme non-rééducable, pièce magnifique de Stefano Massini, retrace le destin hors du commun d’Anna Politkovskaïa.

« Il faut écrire la vérité même si personne n’a envie de l’entendre. J’ai seulement écrit ce dont j’ai été moi-même témoin. Je suis incorrigible pour eux. »

Après l’immense succès de sa dernière création « Changer l’eau des fleurs », Caroline Rochefort s’attaque à une immense figure russe.
Anna Politkovskaïa couvrait la 2ème guerre de Tchétchénie. Elle écrivait sur tout ce qu’elle voyait, entendait, écoutait. Ses articles racontaient l’inverse de la propagande officielle russe. « Ils » l’appelaient la folle de Moscou… Sa quête de justice et de vérité dérangeait. Assassinée en 2006 à Moscou, sa mort avait profondément ému la communauté internationale.

Il se joue une autre version, avec musique, de cette même pièce dans  la petite chapelle des Antonins (La Factory) je décide que celle-ci (au Balcon) était la meilleure..



retour par petites rues (je suis désolée pour les théâtres (même si j'ai majoritairement trouvé des salles pleines ou quasi pleines) mais l'animation des rues, y compris de la rue des Teinturiers est nettement moins folle cett année... se terminant par un marché aussi lourd que le pouvais à Carrefour.

2 commentaires:

Aunrys a dit…

Après la première photo
...
la suite de cette journée
fait un peu
tourner
ma tête
de
terrone (sourire)²
toutefois
plus doucement que le gin

Brigetoun a dit…

oui tout de même