Sortir matin dans la lumière et un début de chaleur encore pleine de charme, vers les Délices de Lubéron parce qu’un message de ma banque m’avait prévenue quelques minutes avant dix neuf heures| faisant battre mon coeur puisque je n’avais pas accès à internet et au relevé de mon compte courant, affolement corrigé dès le rétablissement de la connexion vers neuf heures | que le paiement par carte de mon petit bidon de bonne huile avait été annulé | ai compris que c’était à cause d’une seconde limitation de paiement par carte, mensuel celui-là et que j’ignorais à 2500 euros ce qui ne m’était jamais arrivé, sauf là à cause des trois appareils photo, celui remboursé, la petite horreur et le cadeau… vais devoir ce qui n’est pas grave payer toutes les petites dépenses en liquide pendant deux jours | elles ne le savaient pas, ai insisté et payé en liquide, il est convenu que si jamais cela s’avère faux ce sera un avoir…
continué par un petit tour dans les rues qui s’éveillaient pour acheter quelques légumes à coté de la place Saint Didier
et retour dans l’antre, laver sol et pour le reste attendre temps plus clément et forces plus grandes - voulais finir par céder et tenter de faire un PDF avec mes contributions à l’atelier par hommage à quelques amies qui galèrent… et puis non, me suis battue pour ne pas faire de fautes après la troisième des lignes ci-dessus et me suis mise en vacances entre écoute de podcasts sur France Culture et recherches d’images et résultats sur le live du Monde et des vidéos piochées ici et là… cossarde suis de nature parfois contrariée.
8 commentaires:
La paresse,
avec cette chaleur
qui ne le serait pas ?
ordonnance (sourire)
"Éloge de la paresse", un petit ouvrage de Eugène marsan à méditer en ces temps chaud.
oui Pierrz merci
Aime ce lâcher prise… tout s’écoule à un rythme hors du temps…
et vais me mettre hors du temps un petit moment
Comme vous. Flemme générale
veinardes sommes de pouvoir nous le permettre
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