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désolée, Paumée se veut à l'abri, sauf quand un acte fait déborder le vase, des allusions à la politique ambiante.. et si je suis reconnaissante aux envies de commenter je vous demande de me pardonner de rétablir la modération

samedi, janvier 25, 2025

Temps variable et musique dans la nuit

 



Matinée très froide à nouveau, passage en bleu vers midi pour un temps pendant que la température gagne peu à peu la normale,




et départ, vers 15 h 30, pour marcher assez longtemps sans but mais sur jambes gentilles sous un ciel et dans un semblant de lumière mornement gris…




Nouveau départ dans la nuit vers l’opéra pour un concert romantique intitulé « Scènes de forêt », concert dirigé par le violoncelliste Raphaël Merlin (jeune et gracieux, récemment nommé Directeur Artistique et Musical de l‘Orchestre de chambre de Genève)



Nouveau départ dans la nuit vers l’opéra pour un concert romantique intitulé « Scènes de forêt », concert dirigé par le violoncelliste Raphaël Merlin (jeune et gracieux, récemment nommé Directeur Artistique et Musical de l‘Orchestre de chambre de Genève)

comprenant 

de Robert Schumann les neuf petites pièces de Waldszenen (Scènes de forêt) orchestrées par Ralph Breitenbach - sur  Wikipedia lues et aimées ces mots de Schumann « Les titres des morceaux de musique, depuis qu'ils sont à nouveau en vogue de nos jours, ont été censurés ici et là, et on a dit que « la bonne musique n'a pas besoin de poteau indicateur » Certainement pas, mais un titre ne lui enlève pas non plus sa valeur ; et le compositeur, en en ajoutant un, évite au moins une incompréhension totale du caractère de sa musique. Ce qui est important, c'est qu'un tel titre verbal soit significatif et approprié. Il peut être considéré comme le test du niveau général d'éducation du compositeur. » - avec l’entrée dans la forêt dx petites scènes pittoresques « d’une nature tantôt réconfortante tantôt effrayante », le chasseur à l’affut, le parfum des fleurs, un « lieu maudit », une clairière, une auberge, un oiseau prophète… et la bonhomie de Schumann.

de Dvoräk Waldesruhe (calme de la forêt ou Les bois silenceux) - lyrique et rêveur - au rythme lent du discours de violoncelle suivi par l’orchestre



et peut-être surtout, après l’entracte, la belle symphonie Tragique (n°4) d’un jeune musicien nommé Schubert.


12 commentaires:

jeandler a dit…

Je préfère l'original des Waldszenen au piano que j'écoutais en marchant dans la forêt d'Ermenonville au printemps.

Brigetoun a dit…

ui nous manquions de oiano hier !

arlette a dit…

Double plaisir de te lire ici remous à l'opéra de Toulon suite au licenciement des 21 choristes (budget en panne)

Brigetoun a dit…

oh ! navrant

Dominique Hasselmann a dit…

Une bien belle soirée !!! :-)

Brigetoun a dit…

un programme intelligent oui

Wictoriane a dit…

je t'admire de sortir le soir, ici les jambes sont bien trop méchantes ah ah

r.t a dit…

Clarté grise du matin, même morne, qui offre l'espace infini, et ocres chaleureux du soir qui font entrer dans la musique et sa profonde lumière où vivent, dirait-on éternellement les musiciens.

Brigetoun a dit…

il y a une oetite côte mais même avec elle u nquart d'heure de marche pour l'opéra...

Brigetoun a dit…

vision de poète René, parce que l'espace n'est point si infini dans l'intra muros et parce que les ocres du soir sont lumières électriques dans le noir (sourire)

cjeanney a dit…

(je viens de lancer une version piano) (cela fait beaucoup de bien, merci Brigitte))

Brigetoun a dit…

et merci à toi Christine