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désolée, Paumée se veut à l'abri, sauf quand un acte fait déborder le vase, des allusions à la politique ambiante.. et si je suis reconnaissante aux envies de commenter je vous demande de me pardonner de rétablir la modération

vendredi, mars 14, 2025

Ce jeudi n’existait pas

 


Au moins sur internet et un peu dans la vie… éveillée; bien, de six heures à un peu après huit heures où me suis rallongée un moment… et soudain il était midi et demi et j’étais m'éveillant tremblante, douloureuse… et me revenait ce que j’avais programmé, une matinée pour des paperasses administratives importantes, en retard, exigeant des copies et traitement ensuite avant numérisation, aller chercher résultats analyse et puis éventuellement une exposition aux Célestins… et je tentais de me mettre en état de vie en tournant en rond, douche, vêture, préparation d’un déjeuner avalé à une vitesse presque normale  et il était presse dix heures et demi… 



m’en suis allée disant mañana aux corvées, marchant avec une aisance oubliée dès que dehors mais portant migraine de belle force, décidant de passer prendre résultats tout de même 



tout en cherchant sur mon chemin un salon de thé tranquille pour un rendez vous à venir



et il était quatre heures dix quand suis arrivée place Saint Jean devant la porte du laboratoire qui fermait à quatre et non cinq heures comme le pensais… blagué un moment avec un mien contemporain et le très sympathique vendeur de masques,  boucliers (oh deux en forme de poissons si merveilleux) un peu moins ostensiblement fabriqués en série que d’ordinaire.



Alors en suis restée à un boulanger (assez cher et aux pains moins bons que beaux mais gentil) à quelques courses Monoprix et suis rentrée pour retrouver fébrilité dans l’antre (sourire)… 

6 commentaires:

arlette a dit…

La paperasse administrative donne toujours sommeil ...

Brigetoun a dit…

oh oui (rire)

mémoire du silence a dit…

"mañana aux corvées", l'art de la procrastination... c'est bon...:-)

Brigetoun a dit…

Mariz, je le pratque avec constance

r.t a dit…

Les mots disent la fébrilité de l'antre et dans les photo l'aisance oubliée du dehors se rappelle.

Brigetoun a dit…

merci René (beau résumé)