M'en suis allée matin vers le Musée Calvet
et la lecture dans le jardin de « Chèvres » de Liwaa Yazji (Syrie) – pour la seconde partie de sa programmation Rfi quitte cette année l'Afrique pour le moyen-orient
Dans l'ombre fraîche
délice de ce matin
attente écoute
« Une pièce écrite en 2017, alors que le bilan de la guerre en Syrie se fait de plus en plus lourd. Face au désastre des familles en deuil, le chef de la section locale du parti décide d'indemniser les familles en offrant une chèvre pour chaque enfant tué au combat. Mais un père ne s'en contente pas et se lève pour connaître la vérité sur la mort de son fils. Une tragi-comédie politique sur les manipulations et les violences d'une dictature. »
« Liwaa Yazji est autrice de théâtre, réalisatrice, scénariste et poète syrienne basée à Berlin. Elle a publié un volume de ppése « En paix, nous quittons la maison » et a réalisé un documentaire « Haunted » (2014) récompensé au Festival international du Film de Marseille. Sa pièce « Chèvres » a été traduite en anglais, en allemand, néerlandais et français »
J'ai aime la sensibilité, l'humour, la révolte, le décryptage des méthodes...
La lecture du texte traduit de l'arabe par Leyla-Claire Rabin et Jurnana Al-Yasinétait dirigée par Arnaud Chéron et Armel Roussel assistés de Ella Amstad et Nam Durieu …
et interprétée comme l'avait été Enfant par des élèves de l'option théâtre d'un lycée ou collège de Lille (plus nombreux cette fois) – bravo à eux !
Retour vers l'antre avec achat d'un peu trop de nourritures (m'efforce de prendre du poids) qui me faisair honte, lenteur trop grande en me bagarrant avec les caprices de machine (qui se bloque en supprimant même le son pendant que j'attends interminablement en l'injuriant) pour poser photos de la veille sur instagram, facebook et album du festival pour Google (vais en août cinstituer ceux de 2023 et 2024) – déjeuner très lentement en rêvant et lisant, un petit tour sur internet pour diminuer mon regret devant mes abandons, une sieste presque courte
et départ un peu après dix-sept heures vers le gymnase du Lycée Mistral où j'allais assister à un spectacle du in « Rinse » pour laquelle j'avais un billet (à une mauvaise place... inconvénient que suis arivée à améliorer assez nettement) – spectacle de Aemita Hepi, mis en scène par Mish Gregor, que j'ai franchement aimé sans être vraiment capable d'en cerner la raison (en gros attitude, danse, texte qui n'était pas désiré mais s'est imposé, comme elle le raconte dans son entretien sur le programme de salle avec Moïra Dalant,, en travaillant avec Mish Gregor)
photo Christophe Raynaud de Lage
« D'où vient l'ivresse des commencements ? Le premier émoi d'une histoire d'amour, les premiers mots d'une scène, la découverte d'un pays, la première bouchée d'un repas ? Ce solo, cocréé par Armita Dati et Mish Gregor, se livre à un jeu chorégraphique, mêlant le geste aux mots pour explorer les débuts et ce qui s'ensuit, lorsque l'élan de l'émotion installé s'essoufle et que s'installe l'inertie. Hepi voyage de fin en fin, tissant des liens entre des fragments de sa propre vie et l'histoire coloniale, l'histoire de l'art, du féminisme et de la culture populaire. Fascinée par l'hybridation des formes, la danceuse et chorégraphe bundjalung (Australie) et ngãpuhi (Aoleatoa/New Zélande) déploie sa recherche en mouvements, célébrant la danse comme lieu de mémoire et de résistance. »
Et paresseusement suis rentrrée das l'antre, m'arrêtant en passant pour boire le cocktail soft avec passion, ananas et orange choisi un peu au hasard quand m'en allant vers le Verbe Incarné à une heure où les gens mangent il fallait choisir entre nourriture, alcool ou cocktails (avec une carte de cocktails soft) et que j'ai trouvé si délieux qu'il va devenir mon péché mignon.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire