e me suis réveillée tard de nouveau ; je suis partie bien couverte (et en fait beaucoup trop, ce fut une constante), vers la rue des Fourbisseurs pour faire tirer les dix feuilles de ma première fournée de billets de spectacles au Théâtre des Halles, et je l'ai suivie jusqu'à la place Saint Didier
et en débouchant sur la rue de la République pour passer acheter de nouvelles provisions de bouche chez Carrefour et des cigarillos je suis tombée sur la manifestation des sydicats, pas vraiment de taille négligeable puisque j'ai eu le temps de reprendre mon accompagnement après les deux assez longues interruptions (j'ai fait chaque fois la queue) pour les suivre jusqu'à la rue Mollère où j'ai abandonné pour redescendre vers l'antre.
Un déjeuner lent et copieux, une idée de sieste et je suis repartie, j'ai traversé le bras du fleuve, j'ai descendu l'escalier et me suis mise en quête du « Centre de Loisirs de la Barthelasse » n'ayant d'autre indication que ce ce nom et la mention de « Côté Rhône » ce qui, l'île ayant deux rives longeant le Rhône, manquait légèrement de précision pour aider les bénévoles qui tenaient le stand de Rosmerta dans la seconde partie de la « Journée d'accueil des étudiants » entre le repas offert et les animations musicales... J'ai rencontré un groupe de jeunes qui errait, j'ai pensé que nous avions même destination et constaté que nous avions même perplexité...
C'est l'un d'entre eux qui a trouvé ce Centre de loisirs désiré (à une certaine distance de la rive côté Avignon, distance assez grande pour qu'on ne voit pas la ville)... J'étais dans les temps (le stand a été installé à quarorze heures et je suis arrivée vers quinze heures trente, mais au bout d'environ une heure et demi de circulation ou station debout en veillant à ne pas masquer notre petit stand que fréquentaient les responsables des autres associations, toutes fort louables, pour échanger nos petites fiches de présentation
j'ai abandonné, regagnant comme le pouvais l'escalier à gravir vers le pont, en résistant à la tentation absurbe de prendre comme siège provisoire le dos mouvant d'une vache très approximarive, et jai regagné l'antre.
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