Le 1er octobre après avoir un peu pateaugé et pas mal oeuvré et presque achevé le nouvel aménagement de mon lit et le recouvrir du boutis neuf (manquent encore vraie couverture chaude et deux oreillers pour poser des coussins en accord) je suis arrivée à joindre la dame de Grignan, ma petite sœur plus grande que moi en sagesse, charme et descendance qui se battait (elle fait remettre à neuf le petit appartement des Batignoles acheté pour les démarrages des étudiants familiaux transformé en pied-à-terre pour elle) avec le monde moderne et la sucession de codes avant d'accéder à un duplex ami aux 8ème et 9ème étages d'un appartement à Suresnes et jouir de l'amitié et d'une vue somptueuse... Une bonne fatigue, un déjeuner très lent et assez copieux, une lourde sieste
et un départ vers cinq heures, en passant payer mon loyer rue de la Petite Fustrerie, avant de continuer
vers une librairie/jouets pour enfants rue du Vieux Sextier où j'ai découvert un canard en peluche bleu et blanc, assez grand mais pas trop pour convenir à un berceau, que j'ai ajouté au sac « cadeaux de naissance »
et poursuivre mon trajet par la rue Bonnetterie et la rue des Teinturiers jusqu'à sortir par la porte Limbert, traverser le boulevard
et me trouver prise dans un fort vent qui m'a fait chuter deux fois, la première à plat dos, relevée par un bon samaritain et me reposant un moment sur un banc face aux remparts avant de repartir et de me faire plaquer contre une grille à laquelle je me cramponnais et de me prendre les pieds en idiote que suis en me dégageant... J'ai retrouvé l'ambiance tranquille de Rosmerta, la bénévole « santé » et l'animateur responsable, j'ai détaillé avec eux le contenu du sac qu'ils gardent en réserve et ils m'ont promis une photo du bébé (masculin) quand il aura achevé son chemin vers la venue au monde.
Pour clôre ou presque ce premier octobre : je suis revenue dans un ai frais et presque calme, un rien crevée... et je dois avoir un beau bleu sur une fesse qui m'a fait grimacer en montant l'escalier...
























 
 
10 commentaires:
(plus de peur que de mal alors) (les vents contraires sont traîtres mais on peut insister et au final on reste debout, avec des cadeaux pour les nouveaux nés, c'est de l'espoir))
et le plaisir des amitiés (malgré ma collection de bosses et autres, rire) - merci Christine et bonne journée
Avec le mistral, on n’est pas toujours gagnant, surtout à 35 kg.
je confirme !
Une grand mère de famille proche vivant à Avignon disait, que les jours de grand vent elle mettait de gros cailloux dans les poches
Plaisanterie ou réalité ?
moi je mets un gros appareill photo et je ne prends certaines rues que si j'ai un sac bien lourd
A Avignon lorsque l'air est au courant ... ça fait parfois des étincelles.
Content de savoir qu'il n'a pas été trop méchant.
( de Tiers-Livre, j'erre parfois sur les toiles...) J'ai lu 1er octobre, alors je n'ai pas pu m'empêcher (date de mon non-non-anniversaire) de venir comme une petite souris essayerait de regarder ce qui arrive dans la cuisine. En ce moment, je me pose beaucoup de questions qui commencent par "où?", les photos que je viens de voir risquent de me faire prendre conscience qu'à les multiplier, les questions, je ne fais que mettre des voiles sur des voiles...merci de la balade visuelle en tout K, Alexia (bleu à la fesse, j'ai eu, ben je souhaite ça à personne comme dirait Léo Dagan...)
nous sommes de vieux partenaires lui et moi (lui dois tout de même pas mal de bosses
merci Alexia pour votre passage (et votre compassion pour le bleu)
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