Bourgois, Gracq les derniers signes que nous fait notre monde qui se meurt.
Dans ma retraite que je ne voudrais pas maussade, petit séjour immersion chez Marc Aurèle et Epictète, en longue attention ardente (et Brigetoun avec son âne et son mauvais appareil écoutait le second, le maître).
«… Quand il est embarrassé et contrarié, il ne s’en prend qu’à lui-même. Quand on le loue, il rit à part soi de celui qui le loue ; et, quand on le blâme, il ne se justifie pas. Il se comporte comme les convalescents, et il craint d’ébranler ce qui se remet, avant de renconter son affermissement.

Il a supprimé tout désir en lui, et ses aversions, il les a transportées sur les seules choses contraires à la nature qui dépendent de nous. Il fait usage en tout d’un élan détendu. Et s’il passe pour ignorant, il ne s’en inquiète pas… " Ceci dit, après un échange, avec juste une petite dose de presque loufoquerie, où le français de l’italien était moins catastrophique que mon Italien, et en pensant aux femmes qui l’entouraient, j’ai finalement décidé de passer deux ou trois jours à Toulon à la fin de la semaine prochaine, espérant que je serais à la hauteur. (eu la trouille ce soir)
Et j’ai chipé deux objets ou leur image au Louvre pour leur beauté.