Ce qui me reste creuse, creuse, une pelletée après l’autre
Qu’y-a-t-il dessous ? Tache que je voudrais ainsi simplifier car, au vrai, c'est ça - après long ouvrage,
descendre, arriver chez l'aimable marchand de tapis,
vérifier que j'ai bien visé, entre kilims et persans,
quérir des excuses pour les dégâts,
m'asseoir au sol, et recommencer.
8 commentaires:
Je suis contente d'avoir apporté un peu de beauté dans ta brume. La mienne ne résiste pas au souvenir de ceux qui ont sublimé l'art de vivre : mon fils parti il y a quatre ans et mon ami parti il y a trois jours. Leur courage, mais surtout leur amour pour la nature et ses beautés généreuses, ils me l'ont laissé dans le coeur et quand je regarde autour de moi ils sont là. Rien de morbide, un vrai deuil lumineux. Qui n'a rien à voir avec l'expression vulgaire de "faire son deuil de quelque chose", c'est-à-dire s'en séparer. Nous ne nous quittons pas et ça donne de la beauté...
Bonne journée ensoleillée à toi, et que ta brume cède vite.
???????????
suréaliste, pour moi!!!
Alors là, tu nous devras des explications, s'il y en a!
Tu cherches un tapis de prières pour t'asseoir au sol?
ben je desssscendais
Bon week-end !
Je suis aussi mordu de tapis, turcs en particulier...un mal en "soie"
Le marchand de tapis d'en bas doit avoir quelque chose à te reprocher... ?
je suppose que si j'avais atteri près de son bureau en suivant du plâtre,des lattes,des débris de chape et de carrelage, il aurait pu être légérement mécontent
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