Pauvrette suis, et misérable.Si occupée à me repentir de ne rien faire que plus le temps n’ai de faire quoi que ce soit.
Aujourd’hui, courir le risque de la restauration, et surtout de tout réinstaller – un trac qui me paralyse – une paralysie alibi ?
Et si temps me reste donner un front à cette pauvre créature… et des fesses moins obus, et des cuisses… mais il lui faut s’affermir un peu auparavant - encore très terre meuble
12 commentaires:
Mais laisse-lui ses fesses !!!
;-)
Elle a pourtant l'air de te supplier.
Et oui, elle attend sagement les mains croisées, que tu te décides à la peaufiner.
Suis bien d'accord ses fesses sont O.K., pourquoi veux-tu les affiner?
Un peu de courage, ma belle amie, elle sera magnifique ton oeuvre.
Et que devient mon allongée?
Bon mardi et bisous de ta p'tite cousine du Québec.
oui c'est une supplique, il me semble... vers quel horizon.. toujours remis en cause..?et faire notre pénitence...comme au temps de notre damnation...en sortirons-nous donc jamais .. de notre faute?. notre très grande faute....
Place à quelque vent de l'esprit qui souffle comme on respire à devenir enfin humain ... un peu plus lucide et humain..
et que la forme lui soit complice
Faut pas enlever les cucus hein.
Bon courage sinon, il pleut en plus, tout va bien... (soupir)
un air d'implorante en bonne voie pourtant...allez l'artiste tu trouveras bien à cette femme ce qui lui manque! Mais je me dis finalement ne nous manque-t-il pas toujours quelque chose à nous aussi?
Entre le couteau et la spatule
la suppliante implorante
en adorante de Ra
le disque!
elle t'implore d'en finir et de lui arrondir...pas ses fins de mois..ses fesses !
Elle a ceci d'une plante en ce qu'elle sort de terre...
Brig coucou,
vive les rondeurs à la Monica Belucci !
T'as pas l'air en forme ?
Courage !
OLIVIER
"Pauvre et misérable"... Ben voyons ! A d'autres !
Tu écris ces quelques mots entre deux photos d'une splendide créature, cela te discrédite un peu, ne crois-tu pas ?
Blague à part, j'aime toujours autant ce que tu arrives à faire, mais je m'en voudrais de te lasser.
Camille Claudel...
Enregistrer un commentaire