
avec l'arrivée du trinqueballe de pommes de terre sur la place de l'église, des concours d'épluchage et de jeté d'épluchures (hum ?), des danses folkloriques of course, une initiation au "mashed potatoes" '(?) un apéritif et un banquet républicain et un spectacle - bel hommage non ? http://www.patativores.com/promener.php?ville=pertuis - à vrai dire le banquet républicain correspondait à une journée pour la paix et l'ONU.

Paumée me navrait, j'ai vérifié pourtant qu'il ne variait guère.
Simplement, je dois en rester au journal-ouvrage de vieille dame, penser; comme devrait le faire notre petit imperator, au principe de Peter. M'étonne en ce moment tous ces gens qui attendent de lui un avis sur l'économie.
Et puis je l'ai entendu avec effarement donner des conseils aux africains, leur reprochant leur tendance à accroître leur déficit extérieur.
S'habituer à avoir honte.
8 commentaires:
s'habituer à avoir honte ça s'appelle aussi (vulgaire) en avoir sur la patate!!
sonnez clairons, résonnez musette.
et on va les punir tous ces fraudeurs!!
Bonjour Toi !
Il est sympa Ton blog... Je vais y revenir...
Jolies photos en tout cas...
A plus tard.
Il a parlé:
"Faire la guerre là-bas aujourd'hui ou chez nous demain"
difficile de trouver plus simpliste!
pas étonnant de la part de l'homme des formules.
celle-ci serait risible si elle n'était pas dramatique, porteuse de morts, d'enfants terrorisés, de bombes aveugles.
J'ai raté toutes les festivités dont tu parles. A lire ce que tu en dis je n'ai pas trop de regrets.
Jolie vue de l'escalier rapide avec son ombre de rampe.
S'habituer à avoir honte... Ta chute est rude et la nôtre avec toi.
La Collection Lambert, oui il faut y retourner si tu peux. J'ai des sentiments très mitigés sur Douglas Gordon. Trop de facilités, comme le mur écrit que j'ai montré en photos. Une fausse profondeur qui masque une vraie paresse.
Je ne parviens pas à m'habituer à la honte. C'est facile de donner des conseils à ceux qui n'ont pas le choix.
Pour une bonne fête des patativores avoir des hybrides comme pommes de terre....s'épluchures ! ! !
Les escaliers des jardins de la Fontaine à Nîmes valent bien ceux-là: deux beaux jeux de lignes et d'envolées. L'architecture comme une théâtralisation des lieux.
On se la coule douce dans ce festival de la patate et tout cela se termine en frites, sans doute? Quelle horreur: je n'aime pas les frites (d'ailleurs, de vraies, on n'en trouve plus).
Attention à la marche en descendant!
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