couche de crasse,
usure,
déposée sur dure structure,
comme un doux velours sur de vieux os -
par mes yeux vient le parfum
d'une reinette grise
au moment où elle s'en va,
des ombres et de la lumièresur vieilles pierres
de ce mur, leur bien-aimé
entre tous -
caresse
qui sculpte
la gloire claire
d'un détail sans mièvrerie
naïveté savante
puérilité dure,
et pour sourire
une note incongrue.
Dans l'ombre de la chambre,
mon visage qui pleure
ses marques
6 commentaires:
On ne saura jamais ce qu'il est incongru de laisser voir aux autres , la vraie pauvreté moussue sur nos désirs de lumière et qui peut-être leur ressemblent quelque peu ou les charnières rouillées de nos coffres refermés et qui les feraient trembler de dégoût
bonjour Brigitte, vos mots sont le vin doux de nos esprits.
Et j'espère que cela ne sois pas baroque. ha ha.
Magnifique dialogue encore du pierre.Vous le rendez vivant et bien sûr il est quand il s'agit de l'histoire.
merci.
hugs.
belle journée magique.
Et je voulais dire pas trop baroque.
et je ne voulais pas nécessairement dire l'histoire de l'homme mais aussi l'histoire de la nature écrit en pierre.
et salut à vous
et toujours ta passion des façades...dans le bon sens du terme !
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