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désolée, Paumée se veut à l'abri, sauf quand un acte fait déborder le vase, des allusions à la politique ambiante.. et si je suis reconnaissante aux envies de commenter je vous demande de me pardonner de rétablir la modération

dimanche, avril 15, 2012

Un jour – et de la danse


me suis levée en piètre humeur, sans raison, juste comme ça
travaillé au long du jour, aidée de tout ce que je pouvais, je trouvais, à rehausser mon moral, peu à peu de cran en cran
à me faire bouche souriante, regarder la vie, sa douceur bienveillante, oui aussi.
Merci aux êtres, (même si le bébé lointain et tant désiré lui se fait toujours attendre), aux mots, aux choses, humbles ou non

à ça


forte de quoi, suis partie en approche de nuit à l'opéra (il faudra qu'un jour j'essaie de savoir à quoi correspondent ces plate-formes et passerelles sans lien avec le sol)


voir notre ballet local danser Roméo et Juliette, une nouvelle chorégraphie, sans d'Éric Belaud, son maître de ballet et chorégraphe – plutôt sage, pleine de jeunesse, avec des touches d'humour.

Bel effort de l'opéra pour le décor (on avait même droit à un rideau spécial, assez peu lisible, passablement "romantique"), panneaux coulissants de toile peinte et transparents d'Emmanuelle Favre (qui permettait de découper la scène pour que la troupe assez réduite ne soit pas perdue dans les scènes de bal ou d'ensemble, et de créer chambre, balcon etc..) et les costumes de Daniel Barraud, renaissance stylisée
Beau travail, ensembles parfaits et rôles tenus par de bons danseurs (notamment la nourrice Laurence Hourtané et Tyball, Georges Prunier)

et un très charmant (et bon) couple : Agathe Clément et Ari Soto.

Merci grand pour votre passage.

10 commentaires:

Pierre R. Chantelois a dit…

Si votre humeur était redoutable en matinée, le soir venu, votre humeur semblait plutôt en diapason avec l'entrain du spectacle. Même sans Éric Belaud

Dominique Hasselmann a dit…

L'opéra opérera toujours sa magie nocturne de préférence.

Avignon concurrence donc Orange comme Sarkozy qui copie Hollande ce jour à Paris.

La pièce s'intitule "Rigoletto", à cause du premier.

Sabine Huynh a dit…

Je vous fais ma révérence, Brigitte (j'aime bien notre private joke inoffensive).

Brigetoun a dit…

moi aussi
et merci pour votre passage
parce que : tentation de stop de plus en plus forte

Michel Benoit a dit…

Un opéra est comme un bateau.
Ce doit être le bastingage...

Brigetoun a dit…

trouver la bonne fenêtre pour y sortir - installer un fauteuil et un parasol - s'y établir au moment du festival

jeandler a dit…

et surtout tenir la barre...

Les costumes sont plutôt minimalistes.

Gérard Méry a dit…

La danse adoucirait elle les humeurs

lireaujardin a dit…

belle soirée à l'opéra, j'aurai aimé y être

arlette a dit…

Bien !! ENVIE aussi
lignes minimalistes !! comme les costumes