Un ciel blanc de chaleur
en allant vers les remparts et la lumière - le bleu qui régnait sur
les rues..
Un recul devant
l'installation, prévisible pourtant, de ce gros serpent générateur
de malaises
Souhaiter qu'il ne fasse
pas trop chaud samedi prochain pour supporter le choc..
Tenter de
gommer douleurs et marécages intérieurs - Voir un tendre, ample,
panache blanc s'élever – souhaiter qu'il emporte tout avec
Brigetoun et même Brigitte, parce que lassent.
Voir le ciel
varier au long du jour.
En rester là.
9 commentaires:
Se laisser glisser sur un nuage et se laisser porter par ce dernier devraient être tout de douceur, presque comme dans une ouate.
merci pour ce panache qui change joliment du seul traînant des pieds dans un coin d'Ardennes où une centrale nucléaire française à été construite à moins de 5km de la Belgique, question sans doute de concrétiser une Europe partageant les risques majeurs
si vous voulez du nucléaire venez par chez nous on a ça et pas une petite centrale
En vol statique. Avec de la hauteur, voir venir de loin les nuages.
La torpeur, vous dis-je ! La torpeur !
C'est l'été...
Les toboggans sont de toutes sortes : il leur manque des fois la transparence.
Tapis volant ... mais le moelleux du nuage est plus confortable
C'est quoi l'objet dans le ciel, brige ? On dirait que le nuage essaie de le rattraper, on voit bien son pouce et son index !!!
Si l'automne était en juillet on aurait moins chaud
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