Sur mon petit
vague-à-l'âme du dimanche matin un ciel de toute tendresse.
M'a donné le minuscule
courage de sortir en quête de produit vaisselle, nourriture et
cigares
Suis tombée sur le
vide-grenier de mon quartier, me suis appliquée à marcher assez
vite pour n'en voir qu'un aspect décourageant,
en ai émergé toute
contente de ma raison, qui m'avait aidé à tout négliger, ai fait mes courses, suis rentrée
il faut dire que ciel bleu
il y avait (s'est couvert plus tard), et lumière, mais aussi un
petit frais assorti à la date, ce que n'étaient pas le veston et le
chandail de coton. J'avais froid.
Ne voulais rien mettre sur
Paumée finalement, la futilité de la chose me semble de plus en
plus grande... mais comme j'avais les photos... quelques mots pour
les légender.
13 commentaires:
Bric-à-brac plutôt sympathique. Ces ventes de vide-grenier sont appelées chez nous un grand débarras ou une vente de garage. Influence nord-américaine, quand tu nous tiens! :-)
Le futile ou l'utile : vaste débat bloguant... Bonne journée !
Je détourne aussi les yeux devant ces morceaux de vie éparpillés à la vue de tous comme une indécence !!
Ah!! esprit rétrograde dirait certain !!
On vide son grenier le matin, pour le soir le remplir des vieilleries des autres...
effectivement, un vide-grenier sans grande mémoire...
longtemps que les greniers sont rares et les grands placards aussi - juste faire de la place dans les appartements - je n'ose pas, je jette
Un dimanche à votre main...
Des vide-greniers partout, à force, plus d'envie de chiner ou de participer. Comme toi je jette.
Les vide-greniers sont de plus en plus nombreux et inintéressants...
Premier feu dans l'insert, il était temps, on allait moisir sur pied. Il est tombé beaucoup d'eau dont nous avions grand besoin. Aujourd'hui soleil frisquet mais des trombes d'eau nous sont promises dans les jours à venir. Alors, l'odeur du bois nous réconforte tout autant que sa chaleur. La vie à petits pas.
oh je vais rêver là que je regarde le feu et que je sens et entends le bois... l'anse de l'arrosoir était très froide là tout de suite
J'aime bien vos textes sur les jours de pas-grand-chose. Parce que ma vie, elle y est souvent, dans le pas-grand-chose,et que vous vous donniez la peine de le partager, ce pas-grand-chose, que je partage, hé bien, cela l'ennoblit, cela lui donne un forme, une substance. Et ça c'est précieux.
ça c'est ultra gentil - moi qui voulais soit-disant arrêter
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