Une Brigetoun cossarde et trop de photos

Toulon ce fut... (prenez une inspiration, c'est avalanche, pas le courage de trier – quoique, si, un peu)

un jardin qui accueille l'automne,

un café sur une plage,

une visite, dans ce qui fut la maison des Vergne (de Jules), puis un hôtel, et qui est, depuis déjà longtemps, le petit musée d'art asiatique

des enfants aimés,

un matin neuf sur le jardin,

une recherche de dames à patchwork et ouvrages divers, à travers un salon des saveurs  à la joyeuse ambiance (étaient derrière)

un passage à un salon du livre de belle tenue, où me suis très mal comportée (prise de panique à en croire presque que je détestais la lecture, sortie et attente en mater dolorosa que ma pauvre soeur se conforme à mon égoïsme en cessant sa visite – ce qui d'ailleurs a duré, mais sans doute moins qu'elle ne l'aurait voulu et m'a valu un livre alors que moi... ne lui en ai pas offert – Brigetoun a un très sale caractère)

un dimanche en grande partie solitaire, avec une expédition, juste pour le plaisir et des photos (là j'ai un peu trié, pas assez mais tout de même un gros peu) à travers la vieille ville,

pour le Cours Lafayette, the marché de Provence à mes yeux, un endroit que j'aime.

Ce fut le descendre, frustrée de ne rien acheter, jusqu'au port,

l'autorité de Monsieur de Cuverville, et autres.

trouver un soupirant bien chenu, mais ne pas daigner, remonter

et rentrer, dans la douceur du soleil, à travers la jointure avec le quartier dit populaire de la maison et du jardin (notre enfance et jeunesse, c'était la plage du Mourillon, mais l'ambiance a été revisitée, recréée là)

Ce furent d'autres moments, des plaisirs, des visites.... et une promenade lundi matin, que je garde pour demain, parce que je pense que vous trouvez, comme moi, que cela suffit.. et plus.