La tiédeur tendre de
l'air
caresse la peau
dessous la chair profonde
Ronronner dans l'air trop
chaud
forcer sur le seuil
froid solide de la clim.
Dans l'ennui d'une
assemblée
d'immeuble moi
en besoin d'autre chose
Ma vide solitude
hésite sur le seuil
lisière d'une fête
La tristesse de la nuit
une faim qui naît
renouer avec la vie
Ta voix mes yeux sur tes
mains
raidie écouter
dans la crainte de t'aimer
Marcher entendre ta voix
sourire et savoir
ta mort et ton absence
dans le neutre
du jour, retrouvé ces bidules, tentatives non recevables pour une
revue qui va peut-être redémarrer, lu, grimacé, en ai jeté deux
ou quatre, ou ne sais plus, pensé : ma foi... et repris avec des
images sans rapport, juste des petites frontières, ou air entreposé,
ou passage, approximative adéquation..
suis pas cap.
6 commentaires:
En toute dernière photo, je vois le résumé d'un cheminement, voire d'une déambulation, et l'ultime arrivée ou départ. Déambulations qui s'accompagnent d'une mémoire du temps présent et d'une absence d'un futur antérieur. Rappel de ces images sans rapport, juste des petites frontières...
Pas cap? De bonne espérance.
Oui, ou cap au Sud...
OH!!! comme j'aime , je garde si tu le permets
"Ma vide solitude
hésite sur le seuil
lisière d'une fête"
et images en contre-point
À la frontière, mon cœur balance.
Jamais je n'aurais su dire ainsi ce que j'éprouve aussi.
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