Tâches matérielles, bien
bassement, platement, matérielles, maladroitement et donc lentement
accomplies, tentative de texte pour le tiers livre
http://www.tierslivre.net/spip/
et, dans la chaleur de
l'après-midi, passage à la Fnac
parce que je ne savais
comment changer les piles de mon clavier, croyais deviner mais me
méfiais de moi.... (pour la souris l'avais mal fait, mais je m'en
moque parce que je préfère ma petite amie) – m'en suis allée à
la Fnac permettre à un jeune homme de montrer à la petite vieille
la simplicité (non je ne céderai pas à l'automatisme de dire
biblique) de la chose

et me suis trouvée dans
un Avignon qui s'ébroue avec des flâneurs devant les boutiques et les
équipes affairées à poser le décor, la poésie côtoie la
sottise, l'intelligence l'ordure, les couleurs éclatent, des images
émergent d'un noir qui se veut raffiné...
décor encore réduit...
sans bagarre (mais certains exagèrent cette année avec des affiches
hors dimensions) et sans recouvrement total de toute surface
disponible ni triples guirlandes au dessus de nos pas
petit moment allègre,
début de foule mais sans bousculade, carcasse non rétractée
craintivement... comme j'étais euphorique, ai cédé, autrement que
ces jours ci à Monoprix, et encombré un peu plus ma penderie de
conservatrice.
7 commentaires:
Il est normal de se préoccuper de sa garde-robe avant d'entrer en scène...
j'espère bien ne pas trop me donner en spectacle (souvent navrant surtout vers la fin du marathon)
Une agitation bien sympathique il parait qu'il n'y aura pas de parade
non, marche de soutien et lancer de ballons
Piano, piano., le festival fait son nid.
Qui va piano va sano.
La jupe est bien jolie
le seul truc Monoprix - 15 euros - un peu jeune pour moi mais au genou et non froissable
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