en marge de l'horreur,
renouer avec le programme fixé mardi soir
Après être restée, coupée du fil habituel sur internet, comme un chien d'arrêt devant l'actualité vendredi matin,
partir vers la gare, rouler entre le lecteur de Quignard, la beauté du paysage, et les nouvelles transmises par un connecté
partir vers la gare, rouler entre le lecteur de Quignard, la beauté du paysage, et les nouvelles transmises par un connecté
entre
angoisse et plaisir des retrouvailles à venir, saluer la mer,
changer à Marseille, retrouver Toulon, les arrivées diverses
des
enfants, du champagne, une jeune femme, des rires, la nuit sur le
jardin, la chaleur de l'affection, et quelques apartés graves
La
douceur incroyable de l'air sur nous, ce samedi matin
Une
communion autour du souvenir d'un être bon et dynamique, des
souvenirs
retrouver
le lavoir qui semble si petit, le tilleul gigantesque qui sans sa
parure de feuilles demande que l'imagination lui rende sa majesté
retour
à Toulon, un bon déjeuner, le printemps dans le jardin, l'actualité
qui se tisse avec l'amitié, entre adultes, en union de pensées
prendre
la route vers Avignon et la Drome, en écoutant les nouvelles de ce
qui entourait notre petite cellule
et
retrouver les remparts, laisser la conductrice terminer sa route dans
la nuit qui descend, replonger dans les nouvelles, gardant en soi la
douce richesse de ces rencontres...
6 commentaires:
Un répit avec un petit air de printemps en filigrane, merci pour cette respiration !
Bien rapide mais ressourçante
Belle escapade ! Sans doute utile en ces temps chargés de nuages noirs...
merci à vous
Une histoire de vie
et c'est bon
Les arbres, compagnons indéfectibles.
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