Douceur de l'air, bleu du
ciel,
chaude lumière qui
descend de moins en moins le long de mon mur, mais qui est là,
disponible
Sage matinée de ménage
et repassage de deux pantalons, huit corsages, deux robes et des
torchons, en faisant le projet d'une petite virée, en fin d'après
midi, à Montfavet, pour la fête des foins.
Et puis flemme, flemme,
flemme
Alors se laisser glisser
en suivant une ombre d'idée et pondre un ce serait d'une stupidité
digne d'une fin de journée de soleil, quand on a crâne comme
coucourde vide (moi je dis simplement coucourde, mon crâne étant
facilement en cet état), et recopier le dernier de ceux qu'ont
publiés les Cosaques des frontières.
http://lescosaquesdesfrontieres.com
(à propos des Cosaques ne manquez pas les dernières parutions des
éditions QazaQ http://www.qazaq.fr/livres-et-auteurs/)
Ce serait -
36 - une tentation
Ce serait
désir d'assomption
d'élan, d'une évasion
de fulgurance
de fulgurance
légèreté ennivrée
sur ferme base
sur ferme base
un bondissement radieux
pouvoir oublier
pouvoir oublier
lien et contact au réel
parce qu'il existe
puisqu'il existe
un moment le négliger
s'ouvrir au rêve
s'ouvrir au rêve
s'y installer, se vouloir
différente autre
différente autre,
mais se retrouver ballon
tenu en laisse.
Secouer tête, sourire
4 commentaires:
Fumerolles en ballade et rêve hors frontières
Préfère " coucourdon" plus gentil
La coucourde sait chanter...
Arlette, oui mais je trouve que le ..on le fait atterrir un peu rudement
Dominique, merci
extra ta photo deux, avec ses volutes mystérieuses.
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