réveil avant l'aube –
deux pas sans me redreser complètement – s'asseoir devant mac -
pas de connexion
me rendormir, nouvelle
tentative - pas de connexion et puis un peu avant neuf heures avoir
accès aux billets et nouvelles, à la vie autour de l'antre avec ses
horreurs, ses dégoûts, ses admirations et ses sourires
une journée où, pour
m'ancrer dans la quotidienneté, les machines et objets étaient
entrés en lutte, lutte dont suis sortie victorieuse, couci couça,
en maladroit entêtement
sur la ville, la splendeur
du ciel
bien entendu, les
nouvelles du monde,
et des lectures
décallées.. comme finir fantaisie pour deux colonels et une
piscine de Mario de Carvalho que
j'ai lu lentement ces derniers jours (tombait mal, le ton déjanté
de cette farce collait assez mal avec mon humeur, et je mettais du
temps avant de m'y accorder et d'en tirer plaisir)
4 commentaires:
Oui, je n'ai pas trop aimé cet extrait de Carvalho (est-ce dû à la traduction ?)...
Le ciel bleu éponge des images de sang.
sans doute un peu (traduction) mais pas seulement.. promettait plus qu'il ne donne ce livre
J'aime beaucoup les faïences de ton antre et la couleur de ton ciel, (le nôtre est tout gris depuis hier.)
..bravo Brigitte ..la Victoire en sortant.
Enregistrer un commentaire