mardi soir
nuit vent qui forcit,
qui glace notre attente,
nos besoins d'oubli.
Lakmé musique sage
merveilleuse chanteuse
mon envie perplexe d'aimer
cela, point trop brusquée par la simplicité charmante de la
musique sans grandes qualités, le goût et la simplicité des décors,
l'harmonie des couleurs et des voix à une ou deux exception près,
et la très jeune, apparemment douce et fragile, Sabine Devieilhe, sa
voix, sa musicalité que même l'air des clochettes ne met pas en
défaut.
mercredi matin
juste avant midi
fort vent, la ville
tient ou palpite.
Une bouche, un devis,
grimace et nécessité
attendre avril pour le
début, et me demander si me résigne à un été sans aucun plaisir
ni festival, ou si vais piocher dans réserve et diminuer un peu
d'avantage mes années sans grande gêne.
4 commentaires:
Le choix est difficile mais l'enjeu important.
Il m'étonnerait fort que vous manquiez le festival...
peut-être tenter de me limiter, et puis sabrer dans tout le reste..
bon y a plus à plaindre.. mais ça m'énerve
..comme une salle d'attente aux chaises transparentes....Brigitte qui s'énerve ..c'est rare !
Enregistrer un commentaire