Vendredi matin
j'ai promené mon couffin
ça me convenait
N'était pas urgent
de promener mon couffin
c'était prévision
Le ciel était bleu
Le froid d'automne était
là
Je n'avais plus mal
mais plus de forces
Trébuchais couffin en
main
flottais sur vide
Le monde était flou
J'ai ramené mon couffin
me suis débrouillée
J'ai vaqué, le temps a
passé, j'ai dévoré, je me veux forte aujourd'hui pour repartir
avec lui.
7 commentaires:
c'était un doux couffin mais oh cette croix où se dresse-t-elle donc ?
au sommet de la coupole de la chapelle baroque de Saint Agricol
forte serez....
Joli couffin, objet transitionnel pour aller plus loin...
Dominique, avec entêtement : il a dix ans - bon vais essayer de m'entêter ce matin...
Un couffin qui a de la résistance.
Qu'il t'accompagne encore un bout de chemin...
Espace ouvert de la journée qui commence, liberté de son occupation, tout est possible. Espoir.
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