jour de réveil tardif
jour de méditations, de
pensées légères qui échappent à la poursuite, de pensées qui
s'effondrent, qui galopent, de pages noircies que l'on abandonne,
d'application et d'absences
jour de rien et de
sentiment de presque plénitude.
À côté d'une oeuvre
d'Alexandra Giacobazzi massacrée
http://www.alexandragiacobazzi.fr/alexandra/Accueil.html
10 commentaires:
Est-ce le chien ou l'homme qui est en laisse ?
on n'est jamais sûr de le savoir
Bonheur à lire
Parfois il suffit d'un rien pour remplir tout l'espace...
pourtant bien pauvret (le savais, le constate) sourire
De côté, suivre le chemin
trouver sa voie.
Comme un lâcher prise où le corps et l'esprit se lovent.
ne cherchais rien d'aussi grand et sérieux qu'une voie, n'en est plus temps je crois
plénitude du presque rien alors presque tout
tour juste.. à mon seul désir
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