ombres et
lumière
jouent au
creux des aisselles
une caresse
Au
surplus, amis, suis resté dans l'antre et la cour, ai vaqué un peu,
et pour rompre avec les ombres de pensées qui circulaient en moi, me
suis réfugiée dans la découverte des deux cents premières pages
d'un des rares Jane Austen que n'avais point lu, un des plus
imposants au moins par le nombre de pages, et touchant, bien sûr,
touchant, un peu moins malicieux que les suivants, mais non dénué d'observations cruellement ironiques, Mansfield Park, et ressourcée dans une
longue ballade/picorage dans deux des tomes de la correspondance de
Voltaire, ma très chère lecture trop négligée ces temps-ci.
8 commentaires:
Inconditionnelle de Jane Austen, je vous envie !
Merveille je vais le repêcher pour une énième lecture Jane Austen est toute entière sur une étagère, recours en cas de...
Une image pachydermique merveilleuse. Les arbres ont-ils une âme ?
suis lancé dans une relecture de Jane Austen.. et j'ai réalisé que je n'avais pas lu Mansfield Park
Lecture : havre pour réfugiés (un temps) de l'écriture.
du coup mis à la poubelle le bidule commencé pour les cosaques le soir (surtout parce qu'il y avait une petite fille et qu'après le texte d'Anna Jouy...)
honte à moi! jamais lu Jane Austen... (alors que mes élèves de 4e lisent "Orgueils et Préjugés") et ne saurai par lequel commencer pour me rattraper, une suggestion?
orgueils et préjugés justement et puis Emma, mais à vrai dire tous
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