une attente longuette
devant la gare d'Arles d'une idiote qui avait oublié son téléphone
et se faisait du cinéma
un trio déambulant entre
nouvelles, discussions et coups d'oeil sur l'entour dans les rues
d'Arles
une longue visite à
Vincent Van Gogh en belle compagnie chez lui
et après une vision des
toits de la ville depuis sa terrasse, une nouvelle déambulation et
un déjeuner simple et sympathique
la route où n'étions pas
tout à fait seuls
un pot dans un chalet au
bord de la Colagne
et un diner agréable dans
un petit restaurant au même endroit
un retour dans la nuit qui
descendait vers Marvejols
une nuit sans guère de
sommeil (peur de ne pas me réveiller à temps)
des prises de paroles, des
retrouvailles, des renseignements, une Brigetoun bataillant avec des
machines inconnues d'elle pour servir des cafés infects et s'évadant
un moment pour rendre visite au pôle bois encalminé pendant le
week-end parce qu'elle ne peut résister au plaisir de cette matière
sous quelque forme que ce soit
et puis un déjeuner à
Saint Germain du Teil, de la chaleur humaine, des sourires, des êtres
touchants ou admirables, ou les deux etc... dont je n'ai pas gardé
d'images (pas le temps et privé)
un Avignon au ciel presque
bleu en fin d'après-midi.... et une Brigetoun bien persuadée
qu'elle a beaucoup de chance.
11 commentaires:
Bravo à Carcasse de donner tant d'angles et de bleuitude (gros sourire satisfait)
Et ceux qui passent par ici aussi
Quel périple.. .en sympathie
merci à vous
magnifiques photos qui nous font suivre votre périple :-)
euh… magnifiques ?
Belles photos et retrouvailles touchantes
Bon dimanche à vous
Une brassée, une flopée, une volée de bonne humeur... Merci.
Un passage en Lozère ne peut être que magique!
Bon dimanche
d'arles à marvejols, vous suivez des itinéraires qui ne respectent pas la loi de fermat (qui énonce, je viens de le vérifier, que la lumière suit toujours une trajectoire qui minimise son parcours - grand mystère, qui m'avait ému (oui) pendant mes brèves études scientifiques - surtout scénarisé par feynman, mais... bref !)
je retrouve, en arles, une impression que j'avais gardée : que la ville est curieusement sombre (par rapport à sa lumineuse voisine, où vous résidez) - mais très belle, aussi !
est-ce moi, ou preniez-vous un plaisir particulier à photographier le(s) vert(s) de la campagne traversée ? ("la nature est belle et touchante / Pan sifflote dans la forêt...")
Karim, décidément Blogger joue avec vos commentaires, et je viens de trouver seulement maintenant votre commentaire (je comprends votre réaction)
Pour la différence de lumière entre Arles et Avignon , la journée n'était pas très lumineuse de toutes façons, et Avignon comme Arles est sombre à cause de l'étroitesse des rues… la différence est qu'en Avignon il y a plus de grandes places pour laisser la lumière prendre son évidence
Quant au plaisir printanier de ces verts tous jeunes et tant désirés, je le crois universel
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