chaleur sur
les rues
soupir devant
les balcons
et leurs
dentelles
qui
n'auraient pas convenu
même à mes
folles années
en rester à
tee-shirt manche courte, longue jupe à volant, vieux chapeau, une
vague silhouette de vieille gipsy trop civilisée, et, portant petite
charge utilitaire (suis obligée de fractionner n'ayant qu'une main
et des épaules un peu étroites), je fus très modérée pour mon
détour destiné à allonger trajet...
souriant ai
renvoyé moralement à ses principes la doctoresse et son heure de
marche (dans sa lettre à petit toubib la durée est plus vague)
et
retrouvé avec plaisir la rue du Limas au bout d'un peu plus de trois quart d'heures (pour tenir compte des arrêts)
plaisir
accentué avec deux arrivées via facteur (un cadeau, une gentille
attention de Claudine Mangin-Sales, et deux des premiers livres
édités par André Markowiz dans sa nouvelle maison « Mesures »
http://mesures-editions.fr/
)
9 commentaires:
Les temps de la dentelle sont passés. Dommages pour les Roméo, Juliette attendra... sagement.
les temps d'internet aussi semble-t-il et je m'inquiète de quelques absences ce matin
Merveilles ces balcons tout en dentelles ..il suffit de regarder marcher marcher tu vas devenir .."la femme qui marche "et te statufieren marche élégante et chapeau de paille emblème d'Avignon AA
Désolée je suis tj anonyme AA je travaille sur la tablette et nouvre prsque plus l'ordinateur trop chaud trop grand trop trop tout Arlette
Arlette, rarement chapeau de paille dans la rue, à cause du vent
Arlette, ce que pensais du mien…
repassant parce que deux absences ce matin qui m'inquiète un peu (idiot : ni l'un ni l'autre ne sont seuls)
belles dentelles pourtant
Claudine, vraiment pas très pudiques
Wһat a material of un-ambiguity and preserveness of precious know-һow regɑrding unpredicted feelings.
Enregistrer un commentaire