commentaires

désolée, Paumée se veut à l'abri, sauf quand un acte fait déborder le vase, des allusions à la politique ambiante.. et si je suis reconnaissante aux envies de commenter je vous demande de me pardonner de rétablir la modération

dimanche, juillet 28, 2019

Avignon – jour 23 – contes berbères et rien de plus

tonnerre, humidité suspendue dans l'air plutôt que pluie (les plus vieux comme moi promenant des parapluies fermés), fraîcheur et théâtres survivants jusqu'à dimanche soir, m'en suis allée rue Amphoux, 
face au Théâtre Transversal dans un « nouveau théâtre » (qui a une adresse parisienne dont j'ignorais l'existence) minuscule et qui donne une image quasi parfaite de la précarité pour voir un spectacle sympathique (les quelques spectateurs faisant bloc par nécessité ont réagi chaleureusement par séduction) 
pour assister à Lalla Aicha le chant berbère de l'eau (photographie provenant du site du théâtre, comme le résumé https://www.avignonleoff.com/programme/2019/lalla-aicha-le-chant-berbere-de-l-eau-s25233/ ) second des deux spectacles de Khadja El Mahdi http://khadijaelmahdi.e-monsite.com/pages/parcours-professionnel.html (accompagnée ici par Michel Thouseau musicien, das une mise en scène de Haim Isaacs) jeune comédienne et ethnologue qui après Mama Khan, le chant de la terre Lakota, résultant d'un voyage au Dakota du Sud s'est inspiré cette fois de la vie (semble-t-il) de sa grand-mère maternelle (avec le poids de la belle-mère, l'équilibre entre les rôles des hommes et des femmes même si les règles sont moins radicales que dans les traditions arabes etc... une femme qui dit non) etc...

retour, guère plus d'activité que la veille et puis, pendant que regardais tomber une petite averse vers dix sept heures, ai sorti mon billet pour Beaucoup de bruit pour rien, regardé sur internet, trouvé cette critique mi-figue mi-raisin https://lebruitduoff.com/2019/07/27/beaucoup-de-bruit-pour-rien-comedie-shakespearienne-legere-et-divertissante/ et lâchement y ai trouvé une raison pour mon renoncement (qui en fait s'opposerait je crois au meilleur des spectacles) et, toute honte bue, ai sorti, pour la re-regarder ce soir la cassette du film de Kenneth Branagh pour savourer, notamment le couple qu'il forme avec Emma Thompson... Je crois que j'ai atteint provisoirement mon degré de saturation en ce qui concerne le festival

6 commentaires:

Anonyme a dit…

Et...Bravo pour les partages de qualité c'était des rendez-vous chaque matin égoïstement bien Merci à toi

Brigetoun a dit…

et merci pour le soutien

Claudine a dit…

grâce à vous je vais relire Eschyle........ ^^

Brigetoun a dit…

sourire

Godart a dit…

"Les plus vieux comme moi promenant des parapluies fermés". Écriture très imagée comme un sourire à la Sempe. Merci à vous pour tout ce suivi du Festival, un régal.

Brigetoun a dit…

étions finalement trop précautionneux et puis il y avait tous ces jeunes prouvant que trouais gouttes éparses ça ne fait pas de mal