voilà que comme autrefois
mes semaines ont un début
et qu'il était bleu mais
frais
les travailleurs en allés
ne restions que
quelques-uns
avignonnais ou non
et je crois qu'avons bien
travaillé
revenue à pas flottants
et puis ai grimpé
l'escalier avec l'impatience d'ouvrir l'enveloppe qui m'attendait
dans la niche
et vous plains de ne pas
entendre, du moins pour le moment, puisque le disque sort le 1er
octobre https://fgriot.net/herbe/,
sauf la fin du premier morceau
et je reprends
un fragment du quatrième (dédié à Philippe Rahmy)
et tu
regardes l'herbe
le vaste
alpage du ciel
étendu sur
la terre
toi comme le
ciel étendu
nappe qui
nous berce amour
que tu nous
as laissé
6 commentaires:
@ brigetoun : l'herbe permet d'aller au centre de la terre... :-)
oui… reste souvenir
L'herbe comme les arbres, ces oubliés.
il me semble, Pierre qu'on en parle assez souvent, là l'herbe c'est le sol,et son sous-sol que nous rejoignons
l'herbe, grande gagnante de la mort des sapins chez nous...
grande gagnante des espaces libres du moins dans les sols fertiles et pas trop secs… ici pas trop, à Toulon encore moins
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