vers laquelle m'en suis
allée jeudi après un dîner à Grignan en belle maison avec
retrouvailles après moult années d'un neveu, de sa femme et du
dernier de ses enfants, qui ont encore embellis (enfin pour le
dernier, très beau par ailleurs, ce serait aussi qui a énormément
changé depuis le niot que j'avais presque oublié dans la masse)
une Lozère qui tutoie le
roux sans y être entré totalement, et s'offre des jaillissements d'or, un bonheur de rencontres, un
petit appartement si chaud que toutes fenêtres ouvertes sur
l'humidité qui ne se risquait à y entrer pas plus que les animaux
ne se risquaient dans la belle nature (enfin juste ce qui leur était
imposé, et quand la pluie s'est faite rare)
un réveil avec la brume
qui montait, des écharpes qui jouaient contre les croupes et un
trajet sous un ciel qui m'était ravissement changeant
(et si vous avez quelques
minutes, les images sont ici
9 commentaires:
En toutes saisons, la campagne développe son charme. De plus, la Lozère chante en automne.
et la campagne a au moins une image amicale (pas certaine du tout que toutes les campa,es le soient réellement, l'homme étant le même partout, mais là en plus je ne rencontrait que des gens voués aux autres)
La beauté de la nature lozerienne se mérite et votre délicat petit film lui rend bien hommage.
La descente de Millau jusque avant Avignon recèle de merveilleux paysages qui changent tous les 30km
Mes filles (qui repartent demain) aussi sont si heureuses de voir du vert et du roux.
merci
Claudine la portion de route que même si l'autoroute en principe c'est mieux déteste ma "chauffeuse" qui préfère de loin passer par les petites routes entre sa Drôme et la Lozère
Se laisser aller sur son erre, que demander de plus ?
L'automne se déploie ici avec une certaine majesté... :-)
il n'était pas encore dans sa splendeur… juste un essai très réussi (sourire)
Des nouvelles en image de la Lozère ( puisque j'y réside )...
http://photo-loz.blogspot.com/
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